AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexionTumblrYouTube
Le Deal du moment : -50%
-50% Baskets Nike Dunk Low
Voir le deal
64.99 €

Partagez | 
 

 (mads mikkelsen) la turgescence de nos âmes }

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
morgan t. connhelly

morgan t. connhelly

Admin


Messages : 120
Date d'inscription : 07/11/2013
Localisation : wrhbehtsth

fgswrfgwsrfs
bla bla bla: fbzdfbzdfb
edfdfsef: «sdvbSb«sfbrs


(mads mikkelsen) la turgescence de nos âmes } Vide
MessageSujet: (mads mikkelsen) la turgescence de nos âmes }   (mads mikkelsen) la turgescence de nos âmes } EmptyMar 9 Juin - 2:39




Irish Mob - Mads Mikkelsen



Aguistin O'ceallaigh
Irlandais - Banshee - 51 ans
Veuf - Truand tortionnaire
hétérosexuel


L'âme est une fleur grandissante à chaque pluie de votre vie. Si vous ne la soignez pas, vous vous retrouverez avec le plus douloureux des cœurs de ronces.

cruel + violent + imprévisible + ambitieux + intuitif + sans pitié + patient + déterminé + égoïste + loyal + protecteur + sensible à l'art + sage + poétique + attentif + aurait avantage à pratiquer sa dextérité fine et sa minutie + se laisse rarement dominer par ses émotions + ne fait pas confiance aux inconnus + traîne toujours un scalpel sur lui + adore Jean-Sébastien Bach + sait très bien mentir + articulé + connait très bien le corps humain et comment le faire souffrir pour avoir fait des études en médecine + toujours très propre...

Mon idée a toujours été de me faire passer pour un molosse de garde, mais de ne pas adopter sa stupidité dogmatique. Il est hors de question que je désobéisse à l'ordre du patron, et sa parole sera la mienne, de devoir et de loyauté, jusqu'au bout. Mon opinion et mon état d'esprit sont très souvent enfouis loin de mon travail. Ne pensez aucunement que j'en perds plaisir pour autant. Autrement, comment ferais-je bien mon travail si je n'y mettais pas un peu de cœur?

IRISH MOB, CAMP DU PÈRE FITZ + Il n'y avait encore rien de menaçant, qu'une lueur de rapace fourbe contre son globe oculaire. Qui scrutait, et scrutait, encore. Brillant, comme une conviction vorace qu'on pouvait lui retirer la vie, savamment couverte d'un désir poignant à faire parti de la famille la plus prisée de toute foi qu'il pouvait porter au vivant. En 1994, les alliances étaient déjà érigés comme des canons de guerre. Aguistin, lui, préférait utiliser la lame.

« Et tu as l'affront de demander à t'interposer dans une telle tâche? »

Lui qui avait craché cette déduction tout à fait correct ainsi qu'un halo de fumée blanche, il n'était pas important de connaître son nom. Son rang, certainement. Pour un voyou, on se pliait aux quatre volontés de l'affranchi, et avec sincérité.

« Un affront... Non. Je dirais plutôt une bonne idée afin de faire mes preuves parmi vous, si je puis être exact. Cela fait plus ou moins dix ans que je suis à vos côtés. Je n'ai pas cessé de gravir les échelons depuis le bas de l'échelle. »

« On parle tout de même d'assassiner Slevin, l'homme qui est chargé des liaisons de transport de marchandises illégales. Pas de n'importe quel homme de main. »

« Le fait que vous m'en parliez ouvertement me prouve que j'ai gagné votre confiance en terme de loyauté. Il suffit simplement que je gagne votre confiance en terme d'actions. J'ai tué auparavant. Je crois être capable d'effectuer la tâche. De plus, ils ne connaissent rien de ma personne. »

« Et si tu n'y parviens pas? »

« Vous m'ôterez la vie s'ils ne l'ont pas déjà fait. »

Je pense à mes gestes et décisions et je sens mon estomac frissonner. Mon nez cassé dégoûte sur ma chemise blanche et frôle ma lèvre écaillée. Ligoté sur une chaise, ma cervelle bouillonne et se donne corps et âme à découvrir ce moyen de rester en vie. Mon cœur, lui, réfléchis à ce qui pourrait bien me donner des ailes à en sortir de cette situation.

Comme supposé, j'avais été au garage au Sud de la ville ou le dit Slevin gardait, comme on cache de l'or, un camion chargé de ce que je n'aurais apparemment jamais la chance de voir. Sur le timbre d'un acouphène terrible se glisse des paroles furieuses en échos de motard enflammé. Comme première mission, j'étais tombée sur un transfert de cargaison plus important que la vie du Saint-Esprit, et considérablement supérieur à la mienne. Mauvaise tournure et j'étais désormais le rat coincé dans une essencerie brodée par les ennemis. Et bien que Slevin était seul cette nuit-là, je n'avais prévu sa carrure de monstre. Et il ne croyait définitivement pas que je n'étais qu'un homme cherchant réparation pour une panne automobile. Comme n'importe quel habitant de Banshee, il se doutait d'un mensonge pernicieux, que celui-ci existe, ou non.

Je devais m'en sortir. Il le fallait. Et je reprenais conscience pleinement que lorsque je me posai la bonne question. Comment m'en sortir? Non. Plutôt : pourquoi m'en sortir? Et je pensai instinctivement à Laoise. Mon amour. Mon ange. Qui avait vécu le même sort que moi, trois ans plus tôt, celui d'être pris au piège par les porcs. Qui habitait toujours mes plus grandes volontés. Je ne voulais pas quitter cette Terre comme elle, je voulais toujours vivre en sa mémoire. Et surtout, ne pas laisser Ariadne seule. Ariadne... La seule chose qu'il me restait, mon trésor, et ma plus précieuse source de vie...


Sa poitrine se bomba et il mira un plan au travers le cadre de porte du bureau, où on l'avait ligoté avant de le tuer dans une place et un moment plus appropriés, sans doute. Il jeta coup d'œil autour et conclut que le scalpel dans sa manche serait suffisant pour le dénouer, peut-être aussi pour le sortir complètement du pétrin avec un peu de ruse et beaucoup de chance. Il cachait toujours un scalpel dans sa manche. Jusqu'à celui de sa robe de nuit. Slevin raccrocha au téléphone et mis un pas colérique vers le bureau. Le murmure d'un cœur palpitant frôlait l'adrénaline d'une nuque ensevelit de terreur; celle d'Aguistin qui mijotait un plan qui mettrait, à ses jours, une fin ou tout nouveau parcours.

Le motard mis pied dans le bureau et me trouva inconscient, à la noyade de ma propre bave et de mon propre sang. Il me cria:

« Alors t'as intérêt, sale enfoiré, de me dire c'est qui qui t'envoie sinon je te casse la gueule pour de bon! »

J'éructai de faibles paroles, à peine audibles, des couinements.

« Quoi?! » il beugla.

Je me répétai. Sur le même ton. Et il se pencha sur moi.

« Quoi?! Qu'est-ce que tu dis, espèce de con?! » il beugla, encore.

Mes mains déliées eut tôt fait de s'activer. L'une saisit l'arrière de sa tête, l'autre alla planter le tranchant miroitant sous son menton, juste pour qu'il cesse de beugler comme un porc. La surprise l'immobilisa, le fit gémir, bien sûre, et j'en profitai pour lui donner coups de pieds dans l'abdomen. Slevin gambada vers l'arrière et s'écroula sur le dos. J'eus à peine le temps de le voir retirer mon arme et la lancer sur le sol plus loin. Je me relevai, titubant, mais chargé pleinement d'une furie d'hémoglobine pure. Mon champs de vision floué accrocha une clef à molette. Et je ne perdis une seule seconde pour la saisir et frapper de toutes mes forces le genou droit du porc. À maintes reprises. Au delà du bruit de rotule éclatée dont j'eus vent. Maintenant, sans qu'il ne puisse crier ou s'enfuir, je saisis mon scalpel et tirai l'ennemi loin de la portée de vue des caméras, dans un angle mort de l'établi, et me penchai sur lui. Je saisis sa gorge perforée, et il gémit de souffrance en saisissant mon poignet de ses deux mains. Furoncle imprégnait mon visage, et ma voix chantait clairement. Mais toujours, toujours, je le maintenais au sol avec la volonté d'un père qui donnerait tout de lui pour revoir le regard éclatant de l'être qu'il chérissait le plus au monde.

« Écoute-moi bien : je vais te tuer. Et il n'y a rien que tu puisses faire contre cela. L'opportunité que tu tiens dans tes mains est plutôt la manière dont tu vas mourir. Ça peut être rapide, et sans souffrance, ou très long, et très pénible. Tu me comprends? »

Je déduis très sereinement que sa complainte aiguë fut un oui. L'une de ses jambes se débattit, l'autre resta inerte. Ses mains tentèrent de agripper mon visage et je serrai mon emprise. Il resta docile, sans doute dû à la douleur ou a une prise de conscience fatidique.

« La première chose qui me vient en tête est de te couper les paupières afin que tu puisses pleinement voir à quel point je suis déterminé à te faire parler. J'aimerais aussi que tu prennes un bon moment pour me regarder. Me dire si j'ai l'air d'un con. Réfléchis bien avant de répondre. Parce que si j'étais toi, je prendrais pas l'homme qui me serre la gorge pour un con, et je ne lui dirais pas de conneries, vois-tu? Alors, je commence mon interrogatoire par quelque chose de simple : d'où viennent tes cargaisons? »

Quatre heure plus tard, Aguistin remit nez fendu chez les siens. Visage essuyé, veston bien rangé, le seul indice de ses actes était sans doute la fissure sur son nez ou le rouge sur le blanc de sa chemise. Il tint son menton droit devant l'homme dont il n'était pas important de connaître le nom et renchérit sur tout ce qu'il avait besoin d'exprimer :

« J'ai des informations qui pourraient vous intéresser. »

[Aguistin serait prêt pour une trêve. Ses années de services lui ont fait réaliser bien des choses sur la cruauté de l'homme, néanmoins pas sur son pacifisme. Il n'aura pas le poing levé vers la résilience d'une fin à leur combat, et surtout pas la plume d'une signature pour un quelconque traité de paix. Mais si les plus hauts placés lui dicterait de faire trêve, il ne le refuserait pas. Il n'y croirait pas, tout simplement.]
Bonjour! Je m'appelle Lou mais sur le net ma double identité top secrète c'est BoogyLou :perv2: C'est ma Aleksandra d'amour qui m'a conseillé ce forum :*o*: Un clin d'œil à elle et Agate <3 Bon. J'ai jamais écouté la série Banshee de ma vie. C'est pas ma faute si c'est pas sur Netflix D: mais le concept est vraiment cool et le design est juste MIAM :loveyes: puis quand j'ai été jeter un coup d'œil aux scénarii j'ai vu le petit papa O'ceallaigh et je suis tombée amoureuse :perv2: voilà comment ma belle histoire d'amour avec vous débute, m'ouais. Moi je suis disponible tout plein pour rp et pour faire acte de présence! C'est sûre que Juin sera moins vivant de mon côté puisque je dois déménager dans moins d'un mois et j'ai presque rien de préparé encore (woooot) mais je vais rp et tout quand même pour sûre <3 Sinon, plu personnellement, j'ai 20 ans, j'aime donc fêter, faire des conneries et être irresponsable... Sinon je suis infographiste et j'adore faire des trucs dans Photoshop, j'adore écrire, vraiment, et je suis une fanatique désespérée de tous genres de musiques et de Zelda... Je ferai acte de présence à chaque fois que j'aurai du nouveau dans mes e-mail par rapport au DLAMS et à chaque fin de semaine pour sûre. Alors ça varie, mais c'est généralement souvent. Je me donne un bon 4 jours par semaine pour être certaine Very Happy okay je sais vraiment plus quoi dire et je parle pour rien dire. Je vais m'arrêter maintenant je suis pas capable au secours. Okay bon, on se voit sur le forum hein u_u venez me parler sans problème <3 j'adore incarner des pas gentils, mais je suis très roudoudou sinon Smile

behind the screen
BOOGYLOU




Revenir en haut Aller en bas
https://test-aapow.forum-canada.com
morgan t. connhelly

morgan t. connhelly

Admin


Messages : 120
Date d'inscription : 07/11/2013
Localisation : wrhbehtsth

fgswrfgwsrfs
bla bla bla: fbzdfbzdfb
edfdfsef: «sdvbSb«sfbrs


(mads mikkelsen) la turgescence de nos âmes } Vide
MessageSujet: Re: (mads mikkelsen) la turgescence de nos âmes }   (mads mikkelsen) la turgescence de nos âmes } EmptyMar 9 Juin - 2:39



Découvrons cette raison qui anime notre haine




Lorsque j'étais gamin, je voyais la ville comme un énorme cimetière. Les crimes, les meurtres, les accidents étaient tout autour de moi, jusqu'aux abords de mon sommeil. Puis, un jour, j'ai compris que la peur en soi était une source de vie puissante, que le mal triompherait toujours invariablement du bien, et que cette énergie à mettre le chaos à la ville était dans nos veines. Qu'il fallait ouvrir celles qui avaient les idéaux qui nous contredisaient si l'on ne voulait pas l'inverse. J'ai décidé de devenir Faucheuse, et non mortel. Ce jour là, j'avais onze ans.

Ailfrid était mon frère. Il avait seize ans, mais nous étions inséparables. Il m'avait appris à me battre, à ne pas me laisser faire, à mentir et à réfléchir. Un peu comme notre père aurait fait s'il avait toujours été vivant à l'époque. Un peu comme notre mère nous aurait acquis si elle n'avait pas sombré dans l'alcoolisme.

Ma haine envers les Redhawks a toujours été innée dans la famille, bien plus que tranchante et excluse de nos conversations. Nous n'avions le droit de nous approcher ou même de communiquer avec quelqu'un ayant une moto. Bien plus que de vivre dans la terreur, nous vivions dans la colère. Notre mère a toujours accusé les motards d'avoir tué notre père, mais à huit ans, on ne prend pas conscience encore de ce qu'un membre de notre famille pouvait impliquer dans une organisation telle que la mafia irlandaise. Dès lors, je crois que le Ciel était très net vis à vis mon destin : sans même connaître la chose, je deviendrais irish mob jusqu'au coût de ma vie.

Ailfrid avait une hargne, aussi, celle qui est plus différente, plus personnelle et qui ronge le cœur. Il ne croyait aucunement au fait que mon père ait pu faire partie de la mafia irlandaise, encore moins que l'un des Red l'ai tué. Grand-mère lui avait vite soufflé à l'oreille de ne pas écouter les bobards de notre mère tant que la vérité n'ait été dévoilée entièrement. Il vivait donc dans la colère d'avoir perdu un père. Puis se lia vite d'amitié avec les substances que l'ont imagine dans les pires cliniques d'aide en toxicomanie. Longtemps, Ailfrid éprouva les penchants pour les drogues fortes. Moi, j'éprouvais le sang. La violence. L'envie d'utiliser mes crocs pour éveiller les enfers qui terraient dans mes côtes.

J'avais quatorze ans, Ailfrid en avait dix-neuf. Il s'était enrôlé dans on ne sait quelle magouille. On le prenait à la gorge et tout ce que j'eus su de cette histoire fut qu'il devait une énorme somme à un groupe peu recommandable. On lui avait coupé la joue en signe d'avertissement. Il s'était même acheté une arme pour se protéger. Mes intuitions me disaient que c'était plutôt pour piller une banque, ou faire des conneries encore plus énormes. De mon côté, je m'étais trouvé un penchant pour la chasse au cerf avec les anciens fusils de notre père et les couteaux de cuisine de notre mère.

Hiver 1979, j'avais quinze ans et mon frère n'était plus là. On ne le voyait pratiquement plus, et l'être que j'avais chéri et adoré s'était transformé en monstre. Pire encore : il avait perdu tout sens d'agir. Il violentait et pillait pour une dépendance superficielle qui bousillait sa vie au grand complet. Et moi, à m'occuper de notre mère encore une fois, j'étais trop impuissant afin d'aider mon grand-frère qui m'avait aidé tant de fois, lui... J'eus tant de jours lapider des regrets et des envies afin de pouvoir retrouver l'Avant une dernière fois... Sans succès. À ce jour, tout ce qui me hante, c'est cette soirée.

Nous étions à table pour un repas traditionnel, pour une dinde de réveillon, et le rassemblement de deux êtres sobres, enfin - notre mère faisait ces efforts. Puis la porte d'entrée a claqué. Je me souviens avoir sursauté et m'être dit que les Redhawks étaient entrés dans notre maison. Il s'agissait plutôt de mon frère; plus terne et plus tremblant que jamais.

Il nous avait menacé de son même flingue rouillé, il nous avait insulté et nous avait ordonné de lui donner tout l'argent que notre père avait laissé en héritage. Cette même fortune qui avait flambé dans l'alcool de notre mère et dans mes placements pour l'université. Notre mère lui a donc expliqué la chose et il a commencé à la cogner. Elle a donc crié, pleuré, gémit... Ce que j'ai fait est prendre le couteau de la dinde et le planter dans le creux de l'épaule de mon frère. Je l'eus poignardé sept fois à cet endroit. Il perdit tant de sang qu'il en mourut.

Cette scène me revient si subitement, parfois, et me tourmente parce que je n'ai pas hésité. Pas une seule seconde. Je savais que mon devoir était de tuer un autre être humain, et que cet être humain était mon propre frère, et je l'ai simplement fait. Sans aucune contradiction morale. Bercé par le sang chaud d'un être qui avait été cher, j'ai regardé mes mains souillées et j'ai ressenti une sérénité horriblement délectable.

J'allai à l'université comme bien des garçons de mon âge, à vingt ans. J'étudiai la médecine, le corps humain et ses réactions à son environnement. J'approfondis mon savoir envers ses sensations et sa souffrance, surtout. Quelque chose de fascinant et délicieux, douillets rêves de folie que je pouvais palper, infini. Pour ce qui était de mes temps libres, je m'épris du piano et de ses gammes. Je devins vite diplômé et très bon musicien.

Mon père eut été dans les rangs de la irish mob. Je l'eus appris dans ces temps de ma vie, par ma grand-mère et ma mère qui m'avouèrent tout sur son cas. C'est ainsi que je pris l'opportunité pour faire ce que je voulais vraiment de ma vie : devenir Faucheuse, et non mortel. Je me suis donc enrôlé sur les traces de mon défunt père à l'aube de mes trente ans.

C'est là que j'y ai rencontré l'amour de ma vie : Laoise. Une femme intelligente, magnifique et douce comme l'aurore. Une reine qui aurait peine à faire mal à une mouche, mais qui concentrait une force brutale en elle. Une ange que l'on m'avait apportée du Ciel et qui m'avait considérablement changé. J'étais devenu amoureux et heureux, plus que jamais.

Nous nous mariâmes et nous eurent un enfant. Une magnifique petite fille qu'elle nomma Ariadne. Le second amour de ma vie, la plus belle chose sur terre, et mon trésor de toujours. Une enfant que je vis grandir, à qui j'appris tout ce que je croyais bon pour elle, que j'aimais et aime toujours du plus profond de mon cœur. Je fus toutefois seul à l'admirer grandir puisque Laoise rendit l'âme lorsque Ariadne n'avait qu'un ans. C'était lors d'une tâche où les Redhawks l'eurent enlevée et tuée. La dernière fois que j'eus vu ses yeux de merveilles fut la veilles de sa mort, lorsque nous nous disions au-revoir comme à chaque jour.

Je fus déchiré, j'avais perdu ma vie. Mais plutôt que de rompre esseulé en tristesse, je chéris mon enfant jusqu'à ce jour. Elle était désormais tout ce que j'avais. Ma seule raison et source de vie. Elle grandit et je la forgeai afin qu'elle devienne membre de la irish mob comme sa mère, son grand-père et son père. Maintenant, nous sommes plus unis que jamais.


Revenir en haut Aller en bas
https://test-aapow.forum-canada.com
 

(mads mikkelsen) la turgescence de nos âmes }

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
TEST-AAPOW :: Le Manoir :: Le Rez-de-Chaussée :: Le Hall d'Entrée-