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 personnages en tête

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morgan t. connhelly

morgan t. connhelly

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MessageSujet: personnages en tête   personnages en tête EmptyMer 10 Déc - 0:39

Fo Porter
Cate Blanchet
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Natsya Kumarova
Sofia Coppola
Rose Byrne
Danai Gurira
Melissa McBride
Emmy Rossum
Alela Diane


Travis Fimmel
Bryan Cranston
Jim Morrison
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Steven Yeun
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Norman Reedus
Kevin Spacey

Code:
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<table width=500>
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<td colspan="2" width=500><div class="titre">Nom du personnage</div></td>
</tr>
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<td width =250"><img src="http://img15.hostingpics.net/pics/134001vavakj.jpg" class="img"/><div class="feat">feat Nom de l'avatar</div></td>
<td width =250"><div class="histoireyolo">Informations</div><div style="height:320px;overflow:auto; ">
[b]Surnom :[/b]
[b]Nom complet : [/b]
[b]Travail/étude : [/b]
[b]Âge :[/b]
[b]Lieu de naissance :[/b]
[b]Sexualité : [/b]
[b]Religion : [/b]</div>
</td>
</tr>
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<td width=500 colspan=2><div class="soustitrenew">Histoire</div><div class="hinew"><br>ici</div></td>
</tr>
<tr>
<td><div class="histoire">Caractère et Tempérament</div><div class="blol"><br>ici</div></td>

<td><div class="histoire">Liens intéressants</div><div class="blol"><br>ici</div></td>
</tr>
</table>

</div></center>
</p></div></blockquote></div></div></div><p style="color:#AEB3C2;font-family: Calibri; font-size: 10px; opacity: 0.4;text-align:center; ">©BOOGYLOU.</p></div>


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morgan t. connhelly

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MessageSujet: Re: personnages en tête   personnages en tête EmptyMer 10 Déc - 0:45




















Ollie Hobbes
feat Nicole Fox
Informations

Surnom : Ollie
Nom complet : Olivia Hobbes
Travail/étude : Étudiante en ingénierie, barmaid et tatoueuse pour payer ses études
Âge : 32 ans
Lieu de naissance : USA, NYC
Sexualité : Bisexuelle
Religion : Judaïsme

Histoire

IMPÔTS ET FINANCES 2010
CHAVLA CHÈZAF

26 Avril 2011

Vous êtes morts.

J'écris ces premières lignes parce qu'on me l'a conseillé. En fait, c'est ma grande-sœur qui m'a conseillé d'en parler le plus possible. Pour faire sortir le chagrin, qu'elle dit, pour pas le garder en dedans. Je n'ai pas beaucoup d'amis, et ma grand-sœur pleure très souvent. Ça me rend triste, parce que j'aime beaucoup ma grande-sœur. Je pleure aussi, mais elle me dit que l'on doit rester fortes. Alors je me confis à vous, maman et papa, à travers ce journal que j'ai trouvé dans le bureau des parents, parce que je suis très triste.

Maman et papa, vous êtes partis au ciel. J'espère que vous êtes heureux là-bas. Je pense toujours à vous. Je pleure souvent, surtout la nuit quand il vient le temps qu'on me borde. Papa, tu disais que j'étais trop vieille pour encore me faire border, maman disait qu'à huit ans, on avait droit encore. Je m'ennuie de vous.

Ma grand-sœur a dit qu'on allait jamais se séparer. Il ne faut pas, parce qu'on est une famille maintenant. On est toute la famille Hobbes! Elle a dit qu'on allait se trouver un appartement, et que bientôt on allait changer de ville et que j'allais avoir de nouveaux amis à une nouvelle école avec une nouvelle professeur. Je vais m'ennuyer de notre maison, mais ma grande-sœur dit qu'on ne peut pas la garder.

Je vous embrasse fort fort mes parents sur votre nuage!

Victoria H.


14 Mai 2011

Moi et ma grande-sœur on est arrivé à Milford. C'est notre nouvelle maison. Je n'aime pas la ville, c'est trop bruyant comparé à notre ancienne maison... Mais elle dit que c'est pas cher, qu'il y a un grand parc, et qu'elle pourra travailler comme serveuse dans un restaurant pour payer le loyer.

J'aime beaucoup habiter avec ma grande-sœur, mais vous nous manquez. On pense à vous tous les jours, et j'ai fait un dessin de toute la famille, comme avant, qu'on a mit sur le réfrigérateur! Je dessine très bien... Mais pas autant que ma sœur! Elle fait de très beaux dessins sur la peau des gens qui viennent se faire tatouer chez nous, mais je n'aime pas regarder parce que j'aime pas l'aiguille et le bruit...

J'ai eut une très bonne note à l'école en mathématique! La professeur a dit que si j'avais toujours des bonnes notes comme ça, je pourrai faire le métier de mon choix! Je veux devenir vétérinaire. C'est mon nouveau rêve.

Encouragez-moi de là-haut!

Victoria H.


05 Août 2012

C'est ma fête aujourd'hui!

Je pense fort à vous, j'aurais aimé que vous soyez là... C'est la première fois que je souffle les bougies de mon gâteau sans vous... Ma grand-sœur voulait que j'invite mes amis à la maison, mais j'étais trop triste pour fêter.

Elle m'a donné une boîte à musique. J'ai dit merci, comme vous m'avez montré de le faire. Mais ce n'était pas la bicyclette que j'avais demandé. Mais elle dit que c'est difficile de trouver de l'argent ces temps-ci et qu'il faut économiser beaucoup...

Je m'inquiète pour elle, papa et maman... Elle est nerveuse parfois, et l'autre jour elle ne voulait pas se réveiller pour préparer mon déjeuner. J'ai été dans sa chambre et j'ai trouvé un petit sac avec de la farine dedans. Je trouvais ça étrange, et quand elle a vu que je l'avais dans les mains, elle m'a disputé en criant. J'ai eu très peur, c'est la première fois qu'elle me crie comme ça dessus. Comme papa tu avais fait quand j'avais grafigné ta voiture.

Mais après, elle s'est excusé et elle m'a pris dans ses bras et elle a dit que plus jamais ça arriverait parce que plus jamais il y aurait cette farine dans la maison. Elle a pleuré et je l'ai consolée. Mais je sais que je ne suis pas autant bonne que toi pour ça, maman.

Ensuite on a mangé des pancakes: notre plat préféré!

Victoria H.


25 Décembre 2012

C'est la fête de Jésus!

Je me souviens que toi maman tu voulais jamais fêté parce que tu célébrais la Hanukkah avec des amis, mais papa te donnait toujours quand même un cadeau, et tu restais pour le réveillons avec nous. J'aimerais fêter le réveillon, ou la Hanukkah, mais ma grand-sœur ne veut pas.

Tout le monde fête à l'école, mais ma grande-sœur dit que c'est des histoires pour les imbéciles. Elle n'aime vraiment pas ça. Et quand je parle ou pose des questions, elle dit que si il y avait un Dieu pour vrai, il aurait pas enlever les parents à deux soeurs.

Elle ne croit pas en Dieu, mais elle sait que vous êtes au ciel à veiller sur nous et à nous aimer encore depuis votre nuage. Et puis, elle m'appelle souvent «mon ange», et pour blaguer parfois, «mon petit diable». Même si elle se fâche parfois, je l'aime beaucoup. Merci maman et papa pour m'avoir fait une grande-sœur.

Victoria H.


08 Mars 2013

Jeffrey à l'école m'a donné un bisous sur la joue! J'ai rougis et je l'ai dit à ma grande-sœur. Je crois maintenant que j'ai un amoureux.

Pour fêter ça,elle m'a amenée au restaurant et on a but un grand chocolat-chaud! J'ai demandé pourquoi on allait pas au restaurant où elle travaille et elle a répondu sec que c'était pas une place pour les enfants et qu'il y avait de l'alcool et des gens pas corrects. Mais c'est pas grave, je suis contente! J'ai un petit-ami, j'avais hâte de vous l'annoncer!

J'ai posé des questions à ma sœur parce que des fois elle embrasse des garçons, mais c'est rare que je les vois encore à l'appartement après. Ils couchent à la maison une fois et ne reviennent jamais. Parfois ils sont très gentils avec moi, l'un d'un a même préparé mon petit déjeuner une fois! Mais après il a disparut comme les autres. Peut-être qu'elle n'arrive pas à trouver le bon copain...

J'ai mon prince charmant, j'espère que ma grande-sœur en trouvera un aussi. Mais elle me dit que la personne qu'elle aime le plus au monde c'est moi et qu'elle a besoin de personne d'autre!

Mais je suis certaine qu'elle aimerait bien vous avoir à nos côtés encore, comme moi.

Je vous aime.

Victoria H.


13 Septembre 2013

Ma grande-sœur m'a demandé de faire mes bagage le plus rapidement possible! Elle a dit qu'on allait chez Tante Mona au New Jersey et qu'il fallait vite s'en aller. Elle a caché les fenêtres avec des rideaux et barré la porte, mais dehors j'entends des choses pas normales... Je savais pas qu'on avait une Tante Mona.

Dans ma valise, je vais mettre ma boîte à musique, la photo de vous, mon journal intime, une bande-dessiné de Calvin & Hobbes, des vêtements et ma brosse à dents. Ma sœur aussi a fait sa valise, Elle a mis dedans des vêtements, une brosse à dents, de la nourriture et un fusil.

J'ai peur, maman et papa. Qu'est-ce qui arrive? Elle ne veut pas que je regarde dehors ou même que je fasse de bruit. La nuit passée, nous avons dormis dans le même lit et elle m'a serrée très fort. Je crois que ça a un rapport avec la maladie que notre professeur nous a parlé. On a manqué deux semaines d'école à cause de cela! J'espère quand même pouvoir devenir vétérinaire...

Victoria H.


26 Septembre 2013

Ma grande-sœur me dit que tout va bien aller, mais je sais qu'il y a quelque chose qui ne va pas. Qu'est-ce qui se passe maman et papa? Aidez-nous, s'il vous plaît!

Elle garde toujours son fusil sur elle et elle m'interdit de défaire mes bagages parce qu'on pourrait partir n'importe quand elle dit. On fait que manger des conserves et parfois ma sœur sort pas longtemps et revient toujours essoufflée et apeurée. L'autre jour même, il y avait du sang sur elle...

Elle ne veut pas répondre à mes questions mais je n'en pose pas beaucoup non plus. J'ai trop peur. Elle écoute la radio, tout le temps. Et je n'ai plus le droit d'écouter mes émissions à la télévision parce qu'elle doit regarder des trucs importants elle dit.

J'espère que tout redeviendra comme avant bientôt. Je vous aime.

Victoria H.


2 Octobre 2013

Je suis à bord d'un bateau que ma sœur a acheté (c'est bizarre parce qu'elle n'a pas d'argent et le bateau est pas en bon état). Je ne sais pas trop ce qu'il se passe, mais nous avons vite traverser la ville à course. Il y avait beaucoup de bruit, j'avais très peur. Mais je m'agrippais à elle et je restais dans ses bras les yeux fermés.

Elle a dit qu'on avait assez de provision pour traverser la Baie Daleware et y rester un peu. Je ne sais pas pourquoi on doit habiter sur un bateau maintenant. Je m'ennuie de mon école. Mais j'ai toujours ma grande-sœur, et c'est ce qui compte.

Victoria H.


22 Juin 2015

Je dois écrire de moins en moins dans mon journal et économiser des pages. Je ressens toujours le besoin de me confier à vous, mes parents, mais les ressources manquent. Et je me contrains de vous parler depuis un autre carnet.

Notre petit campement de fortune en forêt tient le coup aux intempéries et tempêtes. Nous n'avons pas beaucoup de visite des foutus monstres et le gibier est abondant. Peut-être avons-nous une chance de survivre, malgré le fait que nous ignorons notre position actuel sur la mappe et que cela fait longtemps que nous n'avons pas croisé d'âmes qui vivent...

Nous fortifions notre cabane de branchages tout le temps, en été avec de la glaise, l'hiver en faisant des igloos. Nous avons beaucoup de pièges de créés dans la région pour contrer les monstres ou tuer les animaux et les manger. Nous avons tant d'aise que nous pourrions presque accueillir un membre de plus dans notre duo. Mais dès que je parle de cette pensée, ma sœur me dit que c'est une idée stupide et qu'il faut être égoïste en ces temps. Et rester unis l'une à l'autre à tous prix. Et puis, jamais on a rencontré encore d'autres humains non infectés... J'ai ce sentiment lourd et angoissant que nous sommes seules au monde, bien que je sache que c'est impossible.

Je pense à vous tous les jours, et au final, je crois peut-être à un Dieu: il vous aurait épargnés de cette vie horrible pour vous remercier d'avoir été de si bons parents.

Victoria H.


30 Février 2017

J'ai cru ces dernières années qu'il ne suffirait que de ruse et de bonne volonté pour survivre loin de l'horreur. Jamais je n'eus été si falsifiée par ma stupidité de toute ma vie.

Tous les jours, je la laissais seule à préparer un feu le temps que je fasse en quelques heures le tour des pièges à gibier. Aujourd'hui, je n'ai pas fait exception. Mais contrairement à l'habitude, ce n'était pas une sœur enjouée que je trouvai au campement; mais une flaque de sang fondue dans la neige.

J'ai pus suivre au bord des larmes et des tracés rouges sur blanc sa fuite sur un kilomètre. Je n'aboutis qu'à une crique d'éboulement où un groupe d'infectés dévoraient une chaire.

J'ai compris à cette seconde qu'il n'y avait nul place pour l'amour dans ce monde. Ni pour la bonté, ni pour la compassion. J'ai compris que nous étions qu'on tas d'os, de muscles et de nerfs qui serait tôt ou tard la victime d'un moins sensible. Je compris que la carapace était meilleur moyen de survie que l'abris ou l'arme. Je compris que je devais foutre le camp de ce que j'avais instauré d'émotions et de campement. Comme avant.

Pardonnez-moi. Je verse autant de larmes à cet instant que d'innocentes vies rendent l'âme. Et nul mot ne saurait décrire la douleur. J'ai beau sangloter, hurler, vagir, vomir: la souffrance est encore plus imprégnée en moi que l'encre d'un tatou dans la peau.

Je suis contente pour vous. Maintenant, vous êtes réunis. Profitez de cette chance, et patientez: je viendrai bientôt vous rejoindre.

Après vous avoir écrit mille fois mon amour, je prendrai route vers nul part. Vers Brooklyn, sans doute. Peut-être trouverais-je une civilisation ou de quoi m'enlever la vie.

Vous me manquez, tous les trois.

Ollie H.
Caractère et Tempérament

La tatou est encré sur la peau

Froide :: Glaciale. Presque sans-cœur. Elle pense qu'elle n'hésitera pas à tuer autrui s'il le faut, quoi qu'elle n'a jamais eut à enlever la vie à un humain.

Alcoolique :: Jusqu'au creux du foie. Dès qu'elle fut immergée dans la civilisation abandonné, elle a reprit goût à son vice qu'était l'alcool et le tabac d'une rage violente. Elle ne se promène jamais sans bouteille dénichée dans un commerce détruit et clope à la gueule. C'est presque tous les soirs qu'elle picole - et il faut dire qu'il ne lui en faut pas beaucoup pour déraper.

Indifférente :: Et fière de l'être. Elle semblera l'être et le sera réellement. Pour elle, plus rien ne vaut la peine d'être vécu et ce n'est que par pur orgueil qu'elle ne s'est toujours pas suicidé. Alors ne tentez pas de cueillir une réaction de sa part.

Orgueilleuse :: Beaucoup trop. Elle n'accepte pas la défaite. Vraiment pas. Ni l'humiliation, ni l'infériorité.

Égocentrique :: Et narcissique. Inutile de lui reprocher quelque chose ou de a rendre inférieur à son proche : elle sait de quoi elle est capable et se surestime assez facilement, pensant valoir bien plus qu'un autre parfois. Peu importe, elle fera tout pour son propre nombril et aidera rarement son prochain.

Égoïste :: Pour elle seule. Pour survivre, c'est chacun pour soi. Elle gardera toute les provisions pour elle et ne partagera certainement pas ses trouvailles. Inutile de lui demander de l'aide : elle t'ignorera.

Rusée :: Et maligne. Elle exploite toute sorte de tactique, de ruses et de pièges. Autant physique que psychologique. Elle sait plus survivre en tactique de défense plutôt qu'au corps à corps.

Faible :: Misérable. Elle ne sait aucunement se battre, et la fuite est son seul moyen devant l'ennemi. Son système de santé est piètre et déplorable, si ce n'est que de son excellent cardio.

Ingénieuse :: Très futée. Avant l’apocalypse, elle étudiait en ingénierie. Elle peut réparer quoi que ce soit en un tour de main, jamais gratuitement ou sans bonne raison, évidemment. Elle sait construire toutes sortes d'inventions et a des doigts de fées en ce qui concerne la minutie.

Manipulatrice :: Vile. Elle connait les mots exacts habituellement pour se faire marionnettiste d'un pantin-humain et utilise ce don comme bon lui chante. Si elle tisse un lien avec vous, c'est pour vous poignardez dans le dos plus tard.

Rancunière :: V pour... Tu la blesses, tu l'injures, l’insultes... Elle s'en souviendra. Et elle t'en voudra toute sa vie. Et se vengera, tu peux en être certain.

Distante :: Loin des yeux, loin du cœur. Elle tentera de cacher le plus possible de son passé et ne voudra rien savoir du tien.Ce monde n'est plus un club de rencontre. Elle est renfermée à la limite.

Pince sans rire :: Humour noire. Si elle a une touche d'humour, c'est de cette manière qu'elle vous en fera part. Elle manie l'ironie et le sarcasme à la perfection et ne se prive pas ni se gêne pour vous en cracher plein la figure. Tâcher de ne pas toujours prendre cet humour comme insulte, parfois elle taquine ceux qu'elle apprécie...

Athée :: Née juive, d'une mère croyante pratiquante et d'un père athée, elle vécue son enfance dans un surface religieuse bien méticuleuse et légère. Elle déteste la religion plus que tout désormais. La détestait bien avant le grand bouleversement, même...


Entre les tissus des organes



Émotive :: Jusqu'au bout des griffes. Elle ne le montrera jamais, mais elle prend colère, tristesse, joie et découragement bien facilement, pour ne dire que le général.

Artiste :: Profondément. Ancienne tatoueuse, toujours elle a une passion pour l'art. Elle dessine encore, avec ce qu'elle trouve, pour se garder vivante d'un quelconque morceaux de l'âme. Elle tuerait pour écouter à nouveau du piano bien joué dans sa vie.

Délicate :: De son doigté. Elle est minutieuse et calme, ne s'impatiente pas lorsqu'il vient de construire de fins objets.

Sensible :: Purement. Elle pleure souvent, en cachette, et se torture des songes les plus tristes. Elle va prendre pitié des autres aussi, et pourrait même éprouver un désir d'aider son prochain. Mais jamais elle ne le montrera.

Pure :: Elle n'a peut-être pas les mêmes valeurs que toi, mais celle qu'elle traîne dans ce bordel sont les siennes et elle y prend soin.
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MessageSujet: Re: personnages en tête   personnages en tête EmptyMer 10 Déc - 0:48



















Lune-Adriel Enola
feat Louis-Jean Cormier
Informations

Surnom : Lune
Nom complet : Adriel Enola
Travail/étude : Plongeur sous-marin
Âge : 29 ans
Lieu de naissance : Yukon, Canada
Sexualité : Hétérosexuel
Religion : Amérindienne

Histoire

né d'une mère amérindienne et d'un père éleveur de bétail - a vécu à Whitehorse près des chutes toute sa vie - il est diagnostiqué et médicamenté bipolaire à 17 ans - sa petite sœur est née quand il avait 19 ans et il l'aimait plus que tout au monde, elle était aveugle née - leurs parents moururent dans un accident de canot à cause des trop forts rapides - il a élevé sa sœur comme si c'était sa propre fille - elle était atteint de leucémie - il s'engouffra dans le travail afin de payer ses traitements - il eut la maladie des caissons qui le rendit sourd/paralysé d'une jambe (tout dépendant du contexte du forum) - sa sœur décéda à huit ans en regrettant de ne jamais avoir vu les chutes mais de les avoir entendu pourtant - Adriel fuit toute sa vie et quitta sa maison et son pays avec sa guitare seulement sur son épaule ainsi que la tresse de sa sœur - il trouva travail dans x ville - il prétend toujours que sa sœur est vivante car il ne peut se départir d'elle - il a la phobie de l'eau, du son des chutes maintenant et subvient des pensions du gouvernement pour ses handicaps et traumatismes ainsi qu'en faisant quelques spectacles amateurs dans les bars et restaurants - sa passion est devenue sa plus grande source de tristesse et d'anxiété.
Caractère et Tempérament

Déterminé - Impatient - Doux - Nostalgique - Triste - Artiste (guitariste, pianiste, chanteur) - Amoureux de la nature - Attentif - Révolutionnaire - Droit - Juste - Aidant - Se déteste - Intelligent - Anxieux - Manie obsessionnelle de l'exhaustivité - Bipolaire (médicamenté) - Fuit l'adversité - Passif - Devient cruellement méchant quand il est stressé
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MessageSujet: Re: personnages en tête   personnages en tête EmptyMer 10 Déc - 0:53



















Violaine Avortée
feat Leila Golkhul
Informations

Surnom : la dentiste
Nom complet : Violaine Avortée
Travail/étude : taxidermiste et dentiste
Âge : 23 ans
Lieu de naissance : Roumanie
Sexualité : Bisexuelle
Religion : aucune

Histoire

née en Roumanie - naît d'une mère gitane sans papier qui eut tenté de l'avorter sans succès - se fait donner le nom de violaine (comme sa mère) et avortée ironiquement par les autres gitans - se fait mettre en famille d'accueil à 5 ans par les gitans qui en ont plein le cul d'elle - entre en école de médecine à 18 ans - devient la plus réputé au niveau des notes grâce à la triche - se consacre pendant quelques années à la dentition - devient facilement dentiste - elle déménage à x pour changer de décor tout bonnement - s'y retrouve sans abris mais reste dentiste - elle prend passion pour les lièvres et s'achète un entrepôt afin d'empailler les lièvres qu'elle chasse ou trouve - ainsi elle développe un goût sérieux pour la taxidermie et se construit un labyrinthe géant dans son entrepôt bourré de bêtes empaillées de toutes sortes - elle cache cet entrepôt comme le plus grand des secrets - elle en fera une piquerie pour les ados, à soupe populaire pour les sans-abris et un lieu d'orgies pour les riches
Caractère et Tempérament

Troubles de personnalité schizotypique (comportements étranges) et histrionique (besoin d'attention intense) faibles (non traités) - Menteuse compulsive - Voleuse compulsive - Pédophile - Pédéraste - Sournoise - Mystérieuse - Absurde - Drôle - Stratégique - Égoïste - Brise les liens de confiance qu'elle acquis - Incapable de s'attacher aux bien matériels (elle vit dans la rue par choix) - Se contredit beaucoup - Très généreuse de son temps et argent - Très précise - Jamais maladroite - Est consciente qu'elle fait des erreurs avec les gens et qu'elle ne peut rien y faire - Aime se faire passer pour d'autre - Tricheuse hors pair - Adore la compagnie des gens - Rancunière - Se lie d'amitié avec tout ceux qui voudront l'approcher d'elle - Aime foutre la merde - Trouve les orgies extrêmement apaisantes
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MessageSujet: Re: personnages en tête   personnages en tête EmptyMer 10 Déc - 0:56



















Molly Mercure
feat Caleb Landry Jones
Informations

Surnom : Molly
Nom complet : Meliandre Mercure
Travail/étude : Danseur de ballet professionnel
Âge :35 ans
Lieu de naissance :Nouvelle-Écosse, origines Irlandes
Sexualité : Hétérosexuel
Religion : aucune

Histoire

né prématurément - grandit dans une famille riche d'artistes (père compositeur et chef d'orchestre et mère peintre professionnelle) - il fera de la physiothérapie et de la réhabilitation jusqu'à ses 13 ans pour compenser ses muscles atrophiés - jusque là, il pratiquera la peinture, poussée par sa mère, et devient un artiste incomparable - afin d'accentuer sa motricité, son père le fit pratiquer la harpe - il deviendra un génie en musique très jeune - une fois ses ossatures et muscles en pleine capacité, il commencera la danse - son talent inné poussa ses parents et professeurs à investir son plein temps dans la danse - il fera l'école de ballet et deviendra réputé et acclamé de la foule très rapidement - toujours il sera lové de sa famille et ses professeurs, n'ayant aucune place à la décision et l'autonomie - à 25 avouera les attouchements sexuels de son professeur de danse lors de son adolescence, qui en réalité sont fausses - il profitera de ce mensonge pour quitter le nid familiale et l'école de ballet d'Irlande pour s'installer loin de tout ce qu'il a connu en x - il ira en appartement pour la première fois - depuis il pratique toujours l'art pour des sommes faramineuses parce qu'on l'y pousse - il ne veut avouer que, secrètement, il aimerait être comptable, que les chiffres et les problèmes logistiques sont sa véritable passion - il aura une apparence jeune dû à la maladie de Hunter et conservera les traits d'un adolescent toute sa vie.
Caractère et Tempérament

précautionné - inquiet - poli avec ceux qu'il apprécie - moue - incapable de prendre une décision - se laisse faire - n'a aucune volonté - arrogant avec les inconnus et ennemis - sait apprécier - lent - très intelligent - beaucoup d'entregents - charismatique - réservé - menteur - fuyard - cachotier - ne sait exprimer ses émotions que par l'art - homophobe de très peu (est malaisé avec tous ceux qui ne sont pas hétérosexuels) - se passionne pour les logarithmes - tiens un journal intime dans lequel il se ment à lui-même pour essayer de se convaincre qu'il est heureux - est méchant avec les autres car il est très fragile lui-même - se brise à rien - s'est créé une carapace contre l'extérieur - en veut à ses parents de lui avoir tracé cette destinée mais ne veut leur dire pour ne pas leur faire de la peine - ne veut pas s'avouer qu'il pourrait changer le cours de sa vie car ça le rend trop anxieux et qu'il ne veut pas décevoir les gens - n'a jamais eut de copine ou même d'amis avec qui il ressent réelle affection car il est coincé dans ses propres apparences - mise beaucoup trop sur l'esthétique et la logique, pas assez sur son cœur.
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MessageSujet: Re: personnages en tête   personnages en tête EmptyMer 10 Déc - 1:01



















Barnabas Mordecai
feat tuomas holopaien
Informations

Surnom : aucun
Nom complet : Barnabas Mordecai
Travail/étude : pâtissier
Âge :31 ans.
Lieu de naissance :
Sexualité : hétéro
Religion : protestant

Histoire

Il faisait gris. Il fait toujours gris à Bibury de toute façon. Mais c'est un magnifique village. Et je roulais la pâte sous le rouleau à enfariné mon tablier.

J'avais vingt ans tout juste. Tout juste parce que c'était le lendemain de ma fête. On m'avait fait soufflé des chandelles puis on m'avait donné une nouvelle guitare et un gâteau aux bougies fondantes. J'avais soufflé, j'avais ris, j'avais été joyeux et j'avais été aimé. Par mon père, ma mère, mes amis et mon cousin.

Dans ce petit village, il n'y a eut que lui pour croire à mes histoires à dormir debout. Elles étaient vraies, mais seule une paire d'oreilles voulait les entendre. Celle de mon cousin, qui depuis est devenu un très bon ami. Dès mes seize ans, plus exactement.

C'était une époque où il n'y avait rien à soucier. J'allais à l'école de mon village et m'attroupais toujours d'amis, n'avais pas plus d'ennemis qu'il n'en fallait, avais les notes bien satisfaisantes, une passion innée pour la cuisine et la musique - art dans l'âme - et une petite amie d'amour fou. Ma vie était bien, paisible, tranquille... Que demander de plus?

Que demander de plus...

Il y avait cette boîte à musique que mon grand-père m'avait donnée à mes cinq ans juste avant son décès. On n'aura jamais compris comment il est mort. Je le devine maintenant...

«Elle est à toi, petit bonhomme...»

(il m'appelait toujours par ce surnom ringard)

«C'est quoi, papy?»

«C'est la chose la plus précieuse que tu pourras tenir de toute ta vie, petit bonhomme.»

«C'est l'amour?» j'avais collé les paroles de ma mère.

Il avait rit parce que je parlais déjà comme sa fille.

«Oui. Et bien plus.»

J'avais soulevé le couvercle pour y découvrir des dizaines d'engrenages de petite fée empilés et entassés dans la boîte de sombre bois. Une manivelle que j'avais tournée puis une petite musique tout aussi douce que l'assemblage d'où elle provenait me parvint à l'oreille.

C'était mignon.

Je crois que mon grand-père eut rendu l'âme sur cette mélodie.

À seize ans, cette petite boîte était toujours sur le chevet de mon lit et n'y avait pas bougé en onze ans.

Ma copine était au courant de l'histoire. Pas plus que cela. Moi non plus d'ailleurs. Pas à seize ans, sept heures et demi, avec elle à écouter un film, dans une chambre sous un temps gris. Il faisait toujours gris à Bibury. Le générique de fin nous donnait en douce quelques centaines de noms et, sur le lit, nous étions couchés. Elle dans mes bras, son odeur sur ma peau... Jamais je n'oublierais.

«Fais jouer de ta boîte à musique. Je ne l'ai jamais entendue.»

Elle m'avait demandé alors qu'on discutait tout bonnement de rien.

Alors j'avais fait jouer la boîte à musique. Je l'activait rarement, comme par peur de l'abîmer.

Petite musique fine. Et un silence. Puis, des voix.

C'était un échos à peine perceptible. Des rires, des vacarmes au loin. Un chuchotement dans le creux de mon ouïe et à la fois à des milles de là. J'avais évidemment cherché la provenance de ces ou cette voix. Tournant la tête dans tout les sens, me levant de mon lit. Avec quelque chose qui avait tout d'inquiétant au fond du ventre.

Ma copine n'entendait rien, évidemment. Et je commençais à prendre panique parce que ces voix semblaient venir de nul part et gagnait en intensité.

«Tu sais que je t'attendais, mon chou?»

Ce n'était pas ma copine qui parlait. C'était un serpent.

«Hein? Quoi?»

J'avais presque crié, dans la folle angoisse.

«Hihihi... Allez, laisse-moi entrer. Allez...»

«Qui es-tu? Arrête! Arrête!»

«Tu sais qui je suis, voyons... Laisse-moi entrer.»

J'avais perdu contrôle de moi, j'étais en nage, je paniquais. Et les voix ne voulait pas cesser. Elles étaient de plus en plus fortes.

«Toc toc! Qui est là? C'est moi, ton copain! Coucou!»

Je ne sais trop pourquoi, mais tout cessa drastiquement. J'avais flanché, voilà ce qui arrivait. Et c'est impuissant que je m'étais retourné vers ma copine. Elle mourrait, assise sur le lit, la boîte à musique close dans les mains. Il lui avait fallut de trois secondes pour rendre l'âme avec une expression de souffrance sur le visage et du sang coulant de ses yeux.

Je m'étais évanouit sur cette image, puis m'étais éveillé à l'hôpital la plus proche de mon village avec ma mère, mon père et mon cousin qui avait tenu à être présent. Nous étions déjà très proches.

On m'expliqua ce qui c'était passé. Ils en savaient presque autant que moi : mort étrange et inexplicable de ma copine et baisse de pression tout aussi surprenante de ma part. Les médecins disaient qu'ils s'agissaient sans doute d'un plat du restaurant qu'on avait mal ingéré.

En quatre ans, plusieurs autres événements étranges sont survenus. Apparition dans les miroirs, voix de ma boîte à musique, certaines poupées me parlaient, je voyais des choses étranges dans les boules à neige... Au tout début, je pensais être schizophrène, mais avec recherche, je vis bien que non. Parfois, ces apparitions étaient sans mauvaises intentions. Rarement, elles étaient vils. Je compris qu'avec la maîtrise de soi, j'étais capable de les contrôler. Et je compris aussi que j'avais un don pour communiquer avec un quelconque autre monde. Mais rien de tout cela ne m'empêcha de retrouver bonheur, métier en tant que pâtisser et belles joies avec ma guitare autour d'un feu de camp et d'amis. Tout cela resta dans le silence, mon plus grand secret. Sauf, bien sûre, à mon cousin à qui j'avais tout compté et qui me croyait sur toute la ligne. Il était superstitieux, autant que moi et n'importe qui dans ce village.

Pour revenir au tout début de l'histoire, j'étais à la pâtisserie et travaillait. Le temps était gris, toujours. Mon cousin est arrivé en trombe avec un article de journal des États-Unis en main. Nous avons feuilleté ce papier et en avons discuté pendant très longtemps : l'histoire d'un garçon qui tombe dans le comas pendant des années, l'intervention de médiums, etc. Il réussis à me convaincre que je n'étais pas le seul et qu'il avait fait recherches sur un quartier américain où les phénomènes étranges se succédaient et s'enchaînaient.

C'est après grandes réflexions que je fis valise pour l'endroit en question. Dans le but d'en apprendre plus sur ce don et, surtout, dans l'espoir d'aider les gens.

Cela fait environ dix ans que j'habite ce quartier. Je suis toujours témoins d'inexplicables faits, beaucoup plus qu'avant, beaucoup plus étrangement qu'avant aussi. J'ai appris qu'avec les boîtes de musique, les miroirs, les poupées et surtout les boules à neige j'arrive à communiquer avec un autre monde. Je suis toujours pâtissier, mais j'aide beaucoup les personnes grâce à mon don.

J'adore raconter des histoires. Comme celle que je viens de vous conter. Mais dans ce quartier, les histoires deviendront ternes. Je le sens.
Caractère et Tempérament

Supersticieux ; Barnabas vient d'un village où il est difficile de ne pas croire aux fantômes. Il a toujours garder une partie de lui, sans doute une intuition, pour la malchance et le doute.

Calme ; vous ne le verrez jamais hurler, sauter ou jacasser en tintamarre, sauf s'il n'est pas dans son état normal. Il est serein et n'aime pas se presser.

Posé ; Barnabas évalue la situation avant d'agir. Il observe et fait grouiller son cerveau avant ses membres. Il use de sa logique et de son intelligence pour résoudre un conflit et trouver les solutions.

Artiste ; toujours il a aimé l'art, que ce soit de jouer de la guitare ou créer des gâteau. Il a une grande passion pour la pâtisserie et aime la partager aux gens.

Compréhensif ; il ne voit jamais tout blanc ou tout noir. Il sait que le démon peut avoir du bien en lui et que l'ange peut avoir le mal en l'âme. Si quelqu'un commet quelque chose de grave, il va évaluer la situation avant de porter un jugement envers lui.

Ne se laisse pas marcher sur les pieds ; jamais il n'a eut vraiment d'ennemis pour la simple raison qu'il ne se laisse pas abattre, manipuler ou pousser. Il use très rarement de violence - seulement quand il a des rages intenses - et préfère ignorer ou replacer son adversaire afin de prendre ses propres devant.

Courageux ; après ce qu'il lui ait arrivé, Barnabas n'a plus peur. Il agit avec, si on veut, naïveté devant le danger et n'hésite pas à s'y engouffrer s'il le faut. De toute façon, après ce qu'il a sut ou vu, la mort et la souffrance ne l'effraient plus.

Aimant ; il est un amoureux de la vie. Il est souriant et gaie, il aime aimer et être aimé en retour.

Doux ; comme dit plus tôt, Barnabas est très rarement de violence. Il est minutieux, consciencieux et sait reconnaître le fragile et y faire bien attention.

Rancunier ; s'il te juge comme un ennemi, ce qui est rare, sache qu'il n'aura aucune pitié envers toi.
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personnages en tête Vide
MessageSujet: Re: personnages en tête   personnages en tête EmptyDim 8 Fév - 22:11



















Ambre Lelièvre
feat Amy Lee
Informations

Surnom : aucun
Nom complet : Ambre Diane Lelièvre
Travail/étude : parfumeuse/tueuse à gage/faiseuse de poisons
Âge : 24 ans
Lieu de naissance : Holbav
Sexualité : bi
Religion : nécromancie

Histoire

Bonjour à vous ,je m'appelle Ambre Diane Lelièvre, mais vous prierais de m'appeler Ambre. Vous pouvez me donner un surnom si vous voulez vous retrouvez avec une langue de crapaud. Je suis née dans la forêt, à l'orée ou tout près de la ville de Holbav, en 1990, le 8 Juillet. Je suis âgée de 24 ans aujourd'hui, et je suis célibataire; les hommes sont des plaies, vous en conviendrez. Avant mon arrivée pour Holbav, j'étais dans l'utérus de ma mère. Mon physique je le dois à Amy Lee qui m'a prêté son visage. Je souhaite intégrer le groupe Vrăjitoarele.



«QUAND IL N’Y AURA QUE LES VERTÈBRES D’UNE COMPTINE D’ANTAN, TU SAURAS Y JOUER LA MARELLE. QUAND LA PLUIE AURA ASSÉCHÉ LES CREUX DE PORES, ENFIN TU SAURAS RESPIRER DANS L’EAU. IL FAUT MOURIR POUR RÉAPPRENDRE À VIVRE. ET IL FAUT VIVRE POUR FAIRE ASSAVOIR LA MORT. » — UN CORBEAU.



Alors je suis prête au trépas.

Il y a, dans l’ironie de la vie que tu nages à la foulée des rires, des pleures, un curieux dessein qui nous porte à croire l’Étrange des choses. Je suis une antithèse qui noie, mais je fais tout mon sens quand on parle aux corbeaux. Je suis une sorcière qui aime la beauté et qui adule la beauté. Voilà, je me suis décrite.

Bon. D'accord. Je suis excentrique, et aime bien parler de beaux mots pour ne rien dire. Quoi que je ne parle jamais aux autres. Antithèse sur bottines, voilà.

Quatre pas de marelles de plus, et tu sauras le creux du crâne. Tu aimes jouer à la marelle? C’est mon pas de danse vénéré. Suis-je immature? Non. J’aime la beauté. La pureté est une beauté. Le noir, le verre, le sang sur la soie sont des beautés. Qu’est-ce que j’aime d’autre, voyons voir…

La distinction et la classe sont mes pierres précieuses. Je suis hautaine, en sous-entendu, toujours polie, lorsque tu me converses à la prunelle près. Mes gestes et mes goûts sont raffinés, à un tel point que, sous ma tignasse qui ne se taille jamais et mes loques de basses ruelles, il est drôle de voir la reine fumer une Malboro à griffes de vernis mâts, à bout de porte cigarette. À inhaler le tabac fumé d’entre des lèvres d’un noir vulgaire, comme s’il elle avait été le phallus d’un Dieu digne de ce nom.

Ris. Allez. Je me fiche de ton opinion. La mienne est un canon que je mettrai contre ton palais.

Je ne me laisse pas marcher sur les orteils, comme tu peux le deviner. Je suis assez maculée, peu rangée, et j'ai la garde-robe qui ferait frémir un sans-abri. Mais je suis classieuse et somptueuse dans ma manière d'être. Je ne me laisse pas faire, non. Mais je sais que la vengeance se mange froide. Et je ne me gênerais jamais pour te chanter de ma suave voix à quel point tu es exécrable à mes yeux, si tu me cherches. Sinon, j’évite la guerre. Garde la discrétion. Je ne suis pas une brute, loin de là. Même que je me fiche de toi jusqu’à preuve du contraire.

La présence d’autrui est une plaie qui s’entretient. Lorsqu’elle vomit purulent, on la taille. Lorsqu’elle vomit pire, on la coupe. La compagnie de mes alambics et des corbeaux suintant d’encre plumes sur ma fenêtre me son un confort au-delà de mes souhaits.

Il ne faut jamais souhaiter le souhait d’une sorcière, soit dit en passant.

Ai-je de la difficulté à communiquer? Aucunement. Les apparences sont trompeuses. Je suis manipulatrice de première gamme. J’ai le minois d’un lapin et le patronyme de son frère. Comme tu l’as retenu, j’ai la finesse vestimentaire d’une lolitas de crades bars électriques de ce qui a été 2003 - mais je n'ai jamais connu, je ne suis pas si déchaînée. Mon maquillage, que j’ai probablement volé à une prostituée mangeuse de poings, semble incrusté dans mon visage. Impossible de lui donner le chic ou le départ. Mes jupons – jamais je ne m’indigne au denim – sont piètres et pauvres. Et ils traînent trop souvent sous mes bottes que Mussolini m’a confiées, ces haillons déchirés et perdus sous les fils à écraser. Mais, j’ai tout le respect pour mon être. Disons que je mange le caviar dans une souillure de plastique. Et je m’en délecte. Croyez-moi.

C’est que ma fortune m’est chère. Autant que ma morbidesse délicate soit nourrit de toutes mes joies, je n’ai jamais déboursé plus que le strict minimum pour m’y accoutumer. Avare, qu’une connaissance disait. Crève, que je lui battais des paupières. Je dois dire que l’or est mon prurit. J’ai tendance à faire le parfum de l’hystérie à son sujet. Mais que voulez-vous, ne vit-on pas que pour l’argent de nos jours?

Mais je ne risque de perdre mon trésor. Je suis calme, introvertie et seule avec mes corbeaux dans mon trois et demi de tout bordel qui me fait une chambre et un lieu de travail aussi amer que le chocolat sans sucre. D’où jaillissent les musiques et les odeurs de tous genres. Je me passionne de mes occupations de sorcière – qui ne te regardent pas – dans un nid avec les volatiles des nuits. Je suis bien confortable.

Je vends le parfum. Je me dis parfumeuse. Il n’y a rien de plus peau de pêche comme métier.

IL Y AVAIT MA MÈRE, ET UN REGROUPEMENT DE SORCIÈRES. IL Y AVAIT UN GRIMOIRE, ET UN PEAU DE CRAIE.



C’est une histoire qui commence comme on ne sait pas débuter. Alors je commence au commencement; la naissance.

Déjà nature et éclipse m'avaient octroyé la chance innée d'être amoureuse des satellites et leurs magies. La lune était dodue et blanche, comme tous les astres qui la reflètent. J'ai décidé que ma mère était une femme d'une beauté méticuleuse et touchante. J'ai décidé aussi qu'elle était versé dans les connaissance des esprits et des comptines françaises. Je décide tout cela pour lui donner une personnalité en mon cœur, parce que jamais je ne l'ai connue, à dire vrai.

C'est par les dialogues des autres que je connais cette histoire: d'Europe et tous ses coins s'étaient réunis les cinq sœurs de foi en Transylvanie, à l'orée d'une forêt sombre et magnifique, à la stèle de tout les mythes où aucun homme n'a jamais désiré s'aventurer. C'était un bois qui reniflait les montagnes du paysage d'Holbav, et nul doute que ces femmes regorgeait des intentions les plus formidables des Démons de terres neuves.

Il y eut un rite inconnu de tout ceux qui n'étaient pas invités, ainsi qu'une cérémonie afin d'accueillir le plus précieux des bijoux; la sixième sœur, moi. Puis, alors qu'on découpait sagement le cordon ombilicale me reliant à ma mère, il eut la violence.

C'était apparemment un groupe de vampires qui eut vent du rassemblement à Holbav des six sœurs et qui n'étaient point alléché à l'idée du pacte lié en leurs veines. Je ne connais rien de ces cachoteries, moi-même, sinon qu'une riche histoire et qu'un secret d'or coule en mes veines. Toujours est-il que ces vampires avaient été informé par je ne sais quelle puce à leur oreille, et qu'ils eurent décidé d'arrêter mes sœurs.

Minuit pile. Je goûtait au sucre du sein de ma mère pour la première fois. Et il eut un cri puissant. Mère alla me confier à un bosquet pour me cacher derrière ses roses et ses ronces, en m'embrassant une dernière fois elle m'envoya l'amour du bout des mots et me laissa en promesse rouge. Contre moi; son châle de laine pour me garder au chaud ainsi que le grimoire de toutes nos ancêtres. Elle savait qu'elle y rendrait la peau, je doute.

Cinq cadavres de femme avait disparu le lendemain à l'aube.

Le reste m'est flou, car les bouches à oreilles ne disent jamais les fonds de vérité, et à l'âge de cinq minutes, les idées s'embrouillent et s'oublient.


IL Y AVAIT UN PÈRE IMPROVISÉ, ET UNE TOISON D'ÉBÈNE. IL Y AVAIT UN CŒUR GRAND OUVERT, ET DE L'AMOUR PLEIN LA BOUCHE.  



Bond dans le temps; je tombe à mes cinq ans.

Il y a le trône de la table au bout de ma pupille, qui cherche l’approbation, qui cherche la caresse. Sur ce trône, un lycan. Sur ce lycan, de lourdes épaules à muscles. Sur ses épaules, l’avenir d’une petite sorcière qui l'admire. Le trône était une chaise de bois, le lycan était un père adoptif et la sorcière était Ambre, moi.

L'histoire que l'homme de loup venait de me compter, je savais qu'il ne l'aurais inventée. Il n'avait jamais eut de créativité, d'inventivité ou de don à raconter les choses. Il était bien trop brute, brute comme ses patte; mais loin d'être abrutis.

Apparemment que j'étais maintenant en âge de comprendre. Apparemment qu'expliquer à son enfant qui sache déjà les souffles de vérité ainsi que sa mère fut été assassinée était de mise. Et après m'avoir expliqué sans détail le massacre, il m'avait dit l'histoire d'amour:

Une fois la pleine lune endormie, ce 9 juillet 1990, le lycan en question revenait d'une nuit de hurlements. Il avait aperçu, alors qu'il humait les environs avec la gueule de sang d'autrui, une regroupement de corbeaux. Une petite charogne, il avait d'abord pensé. Une petite princesse, il avait ensuite réalisé.

Au cours de la nuit du massacre de mes sœurs, les volatiles de Ténèbre s'étaient regroupés autour de moi. Comme pour veiller sur moi, il disait. Il m'avait vue, abandonnée et fragile, et il m'avait aimée. Le bucheron de profession m'avait alors recueillit et m'avait fait grandir. Il habitait une cabane au fond des bois depuis tant d'années qu'il en avait oublié le goût du charbon brûlé des villes. Il ignorait même l'apparition de la voiture, ce bougre reclus de tout. Et il m'a élevée comme le meilleur père des Mondes.

C’est un jeu de dés que d’avoir trouver le sommeil dans les bras d’un inconnu à la pilosité monstre alors que je n’étais que poupon abandonné. Un jeu de marelle, presque. Pourquoi lui? Je ne sais pas. Le Destin. J'étais dédiée à la mort dès ma naissance, pourtant, n'oublions pas. Il s'appelait Viorel. Juste Viorel. Rien d'autre.

Je n'ai jamais été tarée. J'ai vite compris qu'il ne s'agissait pas de mon vrai père, d'autant que nous ne portions ni le même visage, ni le même nom. J'étais française jusqu'au bout du museau, qu'il disait. Et il il était Viorel le loup-garou bucheron et ermite. Rien d'autre.

Mes jambes croisées ballottaient dans des bottillons trois fois trop grands, des pieds qui ne touchaient même pas encore le sol depuis ma chaise massive. Et le bout de mes cheveux frôlait de patauger dans la soupe que je ne goûtais pas. Celui qui a été mon père, lui, en était à son troisième bol.

C’est à cet instant même, je me souviens, qu’il m'avait tout avoué sur ma naissance et mes origines, et qu'il faisait verdict de ce qu’il allait bien faire de la petite fille sous la masse de cheveux charbon. À m’envoyer des regards durs et lourds entre les sapes de soupe. Son mufle était affamé, toujours plongé dans la gamelle.

J’avais dévoilé, cette journée même, mes talents. Bien sûre, il me savait sorcière. Et voilà que la magie s'était enfin emparée de moi; la craie est mon médium, l'incantation, mon vitae. Sans habileté, pas encore, je savais faire la magie. Avec prouesse, je donnais le sens à la marmite, déjà. J’avais ce talent inné pour les potions. Et pour la cuisine. Il se lécha les babines.

_Oui.

C’était une voix de caverne, grave.

J'avais souris et avait appuyé ma joue sur mon poing à mille bagues, et m'étais armé de ma cuillère à soupe. Bien sûre qu’il acceptait une sorcière dans le duo de famille que nous faisions.

Si piètre famille. Si chaleureuse famille. Nous nous aimions comme un réel père et une réelle fille. Nous étions heureux.

J'avais froissée mes lèvres en cœur. J'avais secoué ma cuillère et je l'avais trempé dans ma soupe. Le hareng était frais.



IL Y AVAIT DES SOUVENIRS VIVANTS, DES RAPACES SANS PLUME, AUSSI. IL Y AVAIT DU SANG, ET ENCORE PLUS DE SANG; TROP DE SANG.



L'adolescente que j'étais allait souvent en ville. Quelle adolescente ne l'aurait pas fait?

Il n'appréciait pas, mais il ne disait rien et ne faisait rien pour me retenir. Il me savait assez grande, désormais, pour me défendre. De toute façon, je lui ramenais les meilleures miches de pain de tout Holbav. Il n'avait le droit de se plaindre.

Nous étions une paire indestructible. Je lui dois tout. Il m’aimait comme sa propre fille. Me protégeait. Me donnait la joie. Les pleurs. La vie et ses étapes. Il m’apprenait tout. Y comprit la complicité des loups, la vertu des plantes et des mots. Il était mon héros. Il était mon père. Il est mort à mes quatorze ans, assassiné par une bande de vampires qui voulaient trouer une peau de loup.

Pendant que j'étais partie en escapade, en ville, évidemment.

Quand j'étais revenue à notre demeure, des corbeaux croassaient et faisaient les cercles de l'infini au dessus de la tanière du père loup. Quelque chose évoquait le drame dans l'air, mes intuitions de sorcière et les inquiétudes qui broyaient mon cœur.

Je n'avais eu à ouvrir la porte du logement; elle baillait de soupçons. J'avais pénétré la place en laissant quelques rayons du soleil nouveau se faufiler contre mes épaules et mes hanches. De la marmite ne restaient que des débris. Des armoires, des fantaisies de dégâts. Les murs n'avaient plus de nœud en bois, des giclées de sang, plutôt. La moquette était devenu le cadavre de mon père.

Je m'étais avancée vers lui. Il était mort, sans surprise. Sous sa forme bestiale, griffes sorties et yeux exorbités. Sa peau était blême, atrocement blême, et les lacérations sur son cou ne laissaient aucun doute sur la race des assassins.

Je ne sais si les vampires ayant tué mes deux familles existantes étaient les mêmes. Si oui, je dois contenir de plus sombres prophéties que j'ignore.

Toujours est-il qu'au dessus de la dépouille de mon père, j'ai pleuré. Silencieusement. Immobile, et détruite. Ensuite je me suis reprise. J'ai séché mes pleure, j'ai saisi la dague de Viorel et j'ai dépecé sa fourrure. Je l'ai nettoyer avec toute l'attention du monde, puis je l'ai mis sur mes épaules. Dans ma tête, tout était clair; ils paieraient.  

Il n'est pas pertinent de l'expliquer, mais bien trop jouissif de me le rappeler: je déteste les vampires. Ils m’ont tué mes sœurs. Il ont tué mon père. Ils ont tué une joie. Malheur pour moi, j'étais née et appartenais à leur Royaume. Chance des Dieux pour ma conscience; j'étais en territoire parfait pour la vengeance.

La nuit était tombée quand j'ai mis pied en dehors de la maisonnée. J'avais ce qu'il restait de Viorel sur les épaules, littéralement, mon grimoire en main, de la craie blanche à ma bourse et le plus exquis des parfums au cou. Sous les rayons de l'astre tout puissant, une dizaine de paires d'yeux noirs m'observaient. Une meute de loup gris et magnifiques, tout simplement, qui était venu dire adieu à leur éternel compagnon. Ils m'observaient, menton bas et iris levée... et je leur demandais pardon des miennes.

Ensemble, nous avons observé en silence la maison de bien des bonheurs se faire manger par le feu. Quand il n'eut plus qu'un tas de cendre, chacun des loups prirent le pas vers les bois. Et moi entamais les miens vers Holbav.



IL Y AVAIT UNE SOIF CORSÉE, ET UN COMMERCE NOIR. IL Y AVAIT DES PARFUMS, ET DES BEAUTÉS BOUILLANTES.



Il n’en fallut que de quelques mois pour que j’entreprenne un commerce qui, encore aujourd’hui, est une fortune. Je fais ce quoi je suis la meilleure en : des potions. Des poisons, plus particulièrement. Je fais des parfums et des poisons. Les deux s’agencent comme la soie et le sang. J'aime le sang et la soie. L'ai-je déjà mentionné? Oui. Tant pis. Il est un ruisseau de perle de l’entendre et de l’imaginer.

Me voilà en ville de Holbav. Et pour de bon. Je m'y suis accoutumée et je compte y rester. Aller en France chercher un famille serait désuet; celle qui m'a toujours appartenue n'existe plus. D'autant plus que je ne connais de français que ce que j'ai pu lire dans le grimoire familiale.

J'habite maintenant dans une tour, au dernier étage d’un building de pierre et de rouille, où volent des corbeaux et des boucanes. Je raffole de l'idée de me prendre pour une Reine. Pas une princesse; je n'ai besoin du secours de personne. D'une Reine. Et je fais la potion, livre marchandise en fioles, dois parfois assassiner selon la demande du client. Toujours par poison. Qui ne laisse aucune trace, qui apaise ou torture au besoin. La plus belle et douce des morts.

J’ai comme passe-temps de faire des parfums aussi. Ils sont délectables. Tu les aimerais. Et c'est une couverture aussi mignonne que cocasse pour n'importe quelle autorité qui se plairait à mettre le nez au bas de ma porte.

Alors me voilà.

Et, à la craie, sous les mêmes bottillons, une marelle pâle sur le sol de mon appartement. Et je donne mon âme à la peau de loup trouée qui fait toile nostalgique sur le mur de mon salon. Les bougies de flamme éternelle lui font grâce jour et nuit, abrillent des pentacles et des alambics sournois.

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Les secrets et les dessous de l'histoire de Ambre Lelièvre
[toujours inconnu à ce jour]


DIANE LELIÈVRE ET LA PROPHÉTIE DES SIX SOEURS



Diane eut été Baronne D'isenbourg pendant quatre-vingt-seize ans. Elle a sut conserver apparence et capacité physique jeune tout au long de sa vie grâce à nul autre que la sorcellerie.

Diane était nécromancienne personnelle pour les Ducs et Comptes D'isenbourg, en Alsace. Elle éveillait les morts et communiquait avec eux par le biais des cadavres, charognes et ossements afin de connaître l'avenir. Elle eut découvert son pouvoir à un très jeune âge, exactement à ses six ans, et immédiatement on la garda pour l'utiliser à des fins monarchiques et politiques.

Diane avait perdu sa famille royale entière étant encore bébé. C'était une bande de vampires sauvages qui avait attaqué sa famille au grand complet afin de se nourrir, tout simplement. Sa haine envers les vampires durera toute sa vie, naturellement.

En 1987, bien des années plus tard, l'une de ses ancêtres lui vint en transe astrale alors qu'elle invoquait les morts de ses générations passées. Elle lui dicta une prophétie auguste que la Baronne Lelièvre retranscrit dans le grimoire de sa famille en langage que seules les sorcières peuvent comprendre:

"La race des stryges blancs a fait souffrir notre fratrie généalogique depuis trop de lunes et devront payer de leur soif indigne. Au delà de la centième génération devront être confronté les vampires au six sœurs de sang noir qui uniront leur force afin de supplanter leur force et faire disparaître leur race. Six sœurs de sang noir et de cœur pure, dirigée par la sorcière de notre famille qui aura vu sa famille assassiné par l'ennemi cannibale, à l'orée d'un nouveau monde, qui créeront de leurs propres veines l'incantation qui saura éliminer chacune des goules sur Terre comme ailleurs."

«[...]dirigée par la sorcière de notre famille qui aura vu sa famille assassiné par l'ennemi cannibale[...]» Pour Diane, cela ne faisait aucun doute: elle était cette sorcière devant accomplir cette prophétie vengeresse.

Des quatre coin du globe, Diane fit appel alors à quatre sœurs de dons et de pouvoir puissants. Ensemble, elles devinrent les Ater Sanguis Fratres, dites les Soeur de Sang Noir.

Mais la prophétie parlait de six sœurs, six sorcière créant ensemble l'incantation qui parviendrait à tuer tous les vampires de ce monde. Diane vit cela, alors, comme un signe du Destin: elle enfantera et donnera magie destructrice à sa fille unique, puisqu'un femme elle devra engendrer sans aucun doute.

La Baronne Lelièvre fit charme magique sur un homme afin qu'il tombe éperdument amoureux d'elle et que leur amour procréée nourrisson, fruit de passion charnelle et sans religion. Une fois fécondée, Diane délaissa l'homme en question nommé Émile.

Émile, toutefois, fut incapable d'oubliée la tendre Diane dont il était sous le charme. Il la sut sorcière et décida de commettre l'irréparable afin de passer l'éternité à ses côtés: il se suicida par la morsure contagieuse du vampire.

Une fois transformé en avaleur de sang, il alla retrouver sa belle. Celle-ci démontrait déjà une grossesse avancée et saine, pourtant aucune joie lorsqu'il se présenta à elle sous forme vampirique. Elle le renia, le chassa et le maudit. Diane posa sur son esprit en malédiction funeste que dès lors sont cœur sera brisé à jamais et qu'il ne trouvera plus jamais le repos du bonheur.

Émile fut saisir d'un élan de rage. Il quitta la Baronne et fuit dans l'Alsace récolter des compagnons de son espèce afin de préparer la plus violente des vengeance. De son côté, Diane, préparait la plus merveilleuse des cérémonies: celle d'un accouchement et de l'arrivée de la sixième sœur.


LA NAISSANCE DE AMBRE ET LE CARNAGE DES CINQ SOEURS



Une cérémonie glorieuse et joyeuse eut alors lieu le 8 Juillet 1990, lors des dernières et douloureuses contractions de Diane Lelièvre, sur les terres mystiques de Transylvaine. Ambre naquit dans l'amour et la sorcellerie, et on la baptisa à la craie blanche. Chacune des sœurs lu baisa le front en lui promettant fierté et réussite... Puis vint Émile et ses compagnons assoiffé de vengeance.

Il avait gardé un œil sur Diane et avait eut vent de la cérémonie qu'elle et les quatre autre sœurs allaient accomplir en Roumanie. Il avait donc saisit l'opportunité pour s'y rendre et les massacrer jusqu'à la dernière...

Jusqu'à la dernière? Non. Diane eut le temps de cacher Ambre avant que les vampires ne s'emparent d'elle. Ensuite, elles furent toutes massacrées.

Le lendemain, un loup-garou, Viorel, passait par-là et découvrit Ambre et ses effectifs en tout hasard. Il  la prit dans ses bras et lui promis un père, un foyer, une vie saine... Et ce, même s'il savait dès lors qu'elle était sorcière. Impossible de ne pas s'en apercevoir avec le pentacle dessiné à la craie sur son front, le grimoire à ses côtés ainsi que les corbeaux autour d'elle.

Émile, qui était toujours sur les lieux du crime, vit la scène et se précipita vers Viorel qui ne broncha pas. Le vieux loup-garou n'avait plus peur des vampires depuis trop longtemps.

Le français vit l'enfant et compris qu'il s'agissait du sien puisqu'il semblait nouveau-né et que Diane eut été enceinte de lui peu de temps avant qu'il ne la tue. Émile ne put s'empêcher de s'émouvoir et ne fut capable de tuer Ambre. Il ne fit rien, sinon ordonner poliment à Viorel de veiller sur elle comme s'il s'agissait de sa propre fille. Ce qu'il fit.


L'OUÏE DES VAMPIRES ET LA MORT DU PÈRE ADOPTIF



La bande de vampires resta en Transylvanie sous ordre de Émile, leur chef. Jamais il ne leur dit que sa propre fille, Ambre, était toujours en vie et résidait quelque part dans une forêt de Holbav avec un loup-garou. Mais un jour, l'un d'eux l'apprit.

La réaction de la bande de vampires fut d'abord de battre Émile et le laisser pour mort; il était désormais traître.

Ils retournèrent ensuite sur les lieux du massacre et firent de longues recherches en toute discrétion pour enfin dénicher Ambre sous le toit d'une maisonnée exclue de tout.

Lorsqu'ils furent fin prêts, la bande de vampires attaqua la maisonnée, ne trouvant qu'un loup-garou à abattre; Viorel. Il réussit à en blessé gravement plus d'un, mais ne parvint pas à sauver sa peau et fut assassiné.

Les vampires, pensant que la sorcière s'était enfuit, quittèrent les lieux en laissant le cadavre sous forme d'avertissement pour l'adolescente française. Jusqu'à ce jour, on n'entendit plus parler d'eux.


LE DESTIN DE AMBRE ET LA LETTRE DE VIOREL



Avant sa mort, Viorel eut communiqué beaucoup avec une sorcière de Holbav. En grande cachette, bien sûre.

Il désirait comprendre les dangers que courait sa chère Ambre. Prenant son grimoire en cachette, une nuit, il l'avait apporté à la sorcière en question afin qu'elle lui traduise les passages importants qu'il ne pouvait comprendre. Elle avait accepté sans peine puisqu'ils étaient des amis de longue date depuis le temps.

Elle lui expliqua tous les détails de la prophétie des Lelièvre, et Viorel le vit comme une malédiction. Il savait que Ambre n'était point capable de lire la langue des sorcières, n'ayant jamais eut de semblable pour lui apprendre, donc qu'elle n'était point au courant de la prophétie. Le père adoptif préféra ne jamais lui en parler, mais écrivit cette lettre pour l'en dissuader de poursuivre l'œuvre de ses sœurs et tuer tous les vampires:

"À ma chère Reine des corbeaux,
Tu es la plus précieuse des perles que j'ai pu avoir la chance de côtoyer dans ce monde. Tu es dédiée à l'amour, à la beauté, au talent, au sang et à la violence... mais point à la destruction.
Ma douce, je sais que toutes blessures accumulent la rage et que toutes haines portent ses fardeaux... Mais tu portes en toi trop de merveilles pour la démolition. Mon ange, mon démon, tu es promis à bien trop de prodiges.
N'oublie jamais la vertu la plus importante de notre monde: l'équilibre. Il faut le Mal pour que le Bien vainque. Il faut l'horreur pour continuer à croire au charme. Et il faut toutes races qui soit pour réunir les êtres les plus pures d'entre eux...
Quelque soi ton choix, tes actes, n'oublie jamais que c'est grâce à la mort et la haine que nous avons été réuni, et pour tous les sortilèges du monde, jamais je n'en laisserais filé une seconde.
Tu as ouvert mon coeur, j'espère que ces mots discrets ouvriront le tien.
Avec amour,
Viorel, ton père"

Et il avait plié la feuille en quatre, l'avait glissé dans une page aléatoire du grimoire.
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MessageSujet: Re: personnages en tête   personnages en tête EmptyDim 8 Fév - 22:26



















Diego Rivera
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Informations

Surnom : Didi
Nom complet : Diego Rivera
Travail/étude : boxer professionnel
Âge : 30
Lieu de naissance : NYC
Sexualité : aucune
Religion : aucune

Histoire

« Oui allô! […] Oh Seigneur... Debrah, c'est toi? […] Comment est-ce que ça va? Seigneur, Debrah... J'ai... J'ai eu tellement peur pour toi! Dis moi que tu vas bien?! Je t'en pris... Je... J'ai tenté de te contacter sans cesse depuis... Depuis... […] Écoute, Debrah... T'es ma petite sœur. Je te jure qu'on fera payer ce salaud qui t'as fait ça. Tu peux pas savoir comment je le veux en taule pour le restant de sa v- […] Oui... Oui bien sûre... T- […] T'as été passer... Des tests..? J'te jure sur j'te Bon Dieu que je ferai tout pour que les flics le retrouve et le fasse payer, ce salaud qui a osé te toucher... […] Seigneur Debrah... Au moins t'as rien. Et p- […] Qu-quoi? […] Je... Je sais pas quoi dire... Je... […] Seigneur... Un... Un petit garçon? […] Tu... tu comptes le garder?! […] Oui. Oui d'accord... […] Debrah, ma sœur... J'te jure que je prends le premier avion pour venir te voir. J- […] Ciel... Oui. Oui. Je vais faire tout ce qui est en mon pouvoir. […] Je t'aime fort... Rappelle-moi... Rappelle-moi quand tu veux, ma belle... Seigneur... Un garçon... »

« N'aie pas peur Diana! Je suis là... Je suis là... Non... chuut ma petite... Ce n'était qu'un cauchemar... Viens là dans mes bras. […] Ne t'inquiète pas... Nous allons retourner à la maison très... très bientôt... […] Oui... Le maquillage à maman a coulé un peu parce que j'ai pleuré... Mais ne t'inquiète pas, tout cas bien... […] Papa? Papa il est... Il n'est plus là. Tu le verras... Bientôt je te jure... […] Il va aller à quelque part de spécial. Tu te souviens que je t'avais dit que je ne voulais plus être avec lui s'il me faisait encore mal? Je... Je me suis occupé de lui, ne t'inquiète pas. Il sera bien. Des gens vont l'amener avec des amis... […] Non... Non ma puce, ne pleure pas. Tu reverras ton papa... C'est seulement... […] Non je t'en prie, ne pleure pas. Ne crie pas... J'ai fait ce qu'il y avait à faire... Il ne fallait pas qu'il te frappe encore, tu comprends, ma chérie? Et je ne voulais plus qu'il me frappe. Tu sais, ton petit frère va bientôt arriver... C'est très dangereux pour lui. Je ne veux que votre sécurité à toi et ton petit frère... […] Non, ce ne sera pas pareil, tu le sais... Viens-là, ma puce. Sèche tes pleures... Viens-là, nous sommes ensembles. Jamais je ne vais t'abandonner. Tout va bien aller. On va s'occuper de ton petit frère Diego ensemble, et tout va redevenir beau. Comme avant... Comme avant... »

« Écoutez Madame Rivera, un diagnostic comme le sien n'est jamais évident à prononcer. Mais voilà que votre fils à maintenant cinq ans et il n'a jamais prononcé un mot ou tenté d'en prononcer un... Il semble avoir une faculté affectueuse très... très développé, comme vous le dites. Toutefois, ses autres fonctions cognitives semblent retardés. Pour vulgariser rapidement, Diego, votre fils, a un grand retard au niveau du développement de son cerveau. Il souffre d'un handicap majeure. Je suis désolé de vous apprendre que votre fils est déficient et le sera pour le reste de sa vie. Évidemment, plusieurs mesures peuvent être prises pour aider à son développement. Je vous conseille de l'inscrire à une école spécialiser qui saura bien l'adapter à notre société, ainsi que de continuer la thérapie que vous avez entrepris avec son lapin. Ce sont de très bonnes initiatives afin de le faire grandir sainement. Diego aura toute sa tête, ne vous inquiétez pas. Simplement, j'estime que son esprit cognitif ne saura franchir le stade infantile. Cela ne l'empêchera jamais d'être très intelligent et tout à fait gentil. Simplement, il aura sans doute une grande difficulté à apprendre à lire, écrire et même parler... Je sais, Madame, que ce n'est jamais facile à apprendre, et je vous jure que notre établissement fera tout en son pouvoir afin de bien s'occuper de lui. Continuez à le traiter comme vous le faites, c'est excellent. Mais n'oubliez jamais qu'il sera toujours différent des autres. »

« Non, Diego. Tu n'est pas différent des autres, et tu ne le seras jamais. Tu es unique, et très spécial. Mais tu n'es pas différent. Comme tous les autres tu as le droit d'aller à l'école, de manger à la cafétéria avec des amis, de faire des sport et- […] oui, Diego. Je sais bien que tu aimes le sport. Je le sais. Mais écoute moi attentivement un peu. Ne te laisse pas abattre par les autres. Tes camarades de classe seront souvent méchants à cause de ton handicap, mais ne les écoute pas. Arrête de pleurer à cause de leur méchanceté... […] Bien sûre que tu peux jouer avec ton camion même si tu as six-sept ans. Ne laisse personne te dire que tu ne peux pas. Ne laisse personne te dire quoi faire, quoi être... Et surtout, ne laisse personne te dire que tu es inférieur aux autres. Tu es un trésor. Tu es mon trésor. »

« Seigneur, Diego! Tu te rends compte un peu?! Tu es finaliste au championnat national de boxe et tu n'as que vint-et-un an! Seigneur... Arrête de penser un peu à l'astronomie. Tu sais que t'es pas fait pour être astronaute! T'es fait pour être boxeur! Le meilleur de tous les temps! Tu es tellement borné... Si j'étais un coach un peu moins patient, je te jure que je t'aurais foutu en dehors de mon ring! Mais merde, Diego... T'as tellement de talent une fois que t'enfile tes gants! Écoute moi, maintenant... Écoute moi bien; je veux me rendre au sommet avec toi. Au sommet, t'entends?! Je veux que tu te rendes au championnat mondial, mon grand! Je sais que tu peux le faire! T'es trop doué, personne ne t'arrive à la cheville! Écoute-moi, hey! Et ensuite... Ensuite, quand t'auras ta belle ceinture toute dorée, tu pourras t'envoyer sur la lune. T'entends?! Alors un peu de nerf! Et aller, on vise la coupe mondiale Diego! »

« Comment s'appelle-t-elle? [...] Amelys... C'est un très joli nom. Ton amie? Tu dis qu'elle est ton amie! C'est une grande nouvelle! [...] Alors elle est venue te voir après ton match, comme ça? D'où vient-elle? [...] Diego, réponds à ma question: d'où vient-elle? [...] Comment ça tu ne sais pas? Tu ne lui as pas demandé? [...] Quoi? Elle te comprend?! C'est... C'est étonnant ça... Tu es certain qu'elle est ton amie pour vrai? [...] Attends... Attends, laisse-moi la rencontrer, d'abord. Il faut que je la connaisse si tu veux la voir plus souvent. [...] Attends, tu ne la connais pas encore tout à fait. Tu ne peux pas dire que tu veuilles déjà habiter avec elle, allons, Diego! [...] Non! Non ne te mets pas en colère je... je ne voulais pas dire du mal d'elle... [...] Arrête de parler de tes lapins un peu, tu- [...] quoi? Elle est... douce... comme un lapin? [...] Oh! Seigneur... Mon grand, fais-lui attention, veux-tu? Fais-lui bien attention. Tu sais ce qui arrive aux lapins quand tu les aimes trop... »

« Foutu d'enfoiré! Non mais t'es tellement con, Diego! Je t'ai dit que quand y'a des journalistes, des fans ou des annonceurs tu fermes ta gueule! Qu'est-ce que tu y comprends pas?! Non mais je suis le gérant de quel con moi?! Ta popularité va te monter à la gloire, Diego! Mais si les gens savent que t'es déficient, ils vont moins t'aimer... Je t'ai déjà tout expliqué! Alors tu dis pas un mot quand les journalistes sont là! Ils ne faut surtout pas qu'ils apprennent tout ça! Tu te contentes seulement de signer des autographes et faire des beaux sourires comme t'es si doué... Rien d'autre! C'est pas compliqué! Merde! »
Caractère et Tempérament

surnoms : Didi pour les intimes, Big Mountain sur le ring △ ville de naissance : New York △ date de naissance : 05.09.1977 △ âge : 37 △ statut financier : prospère △ statut social : célibataire △ orientation sexuelle hétérosexuel △ métier/études : boxer professionnel △ depuis combien de temps vis-tu à glenwood springs : depuis 1991 △  signe particulier : est déficient mental, plus précisément, est toujours enfant intellectuellement parlant △ qualités : doux, pure, gentil, à l'écoute, sage, souriant, compatissant, loyal, mignon, persévérant. △ défauts : impatient, naïf, orgueilleux, se laisse guider par ses émotions facilement, lunatique, inattentif, a du mal à prendre conscience des choses qui l'entourent. △ avatar : dwayne "the rock" jonhson △ groupe : les étés indiens △ crédits : BOOGYLOU.

pourquoi êtes vous à glenwood springs ? depuis ses quatorze ans, Diego s'entraîne sur le ring en vu de faire de ses coups de poings et ses jeux de pieds un métier rentable. la mère qui croyait alors en une passion ainsi qu'un avenir pour son fils a décidé d'investir tout ce qu'elle possédait sur son entraînement, ainsi que sur ses séance d'orthophonie.

elle avait raison, de moitié, seulement. certes, Diego trouvera plus tard avenir glorieux derrière ses gants de boxe. sa passion, toutefois, restera les étoiles. toute sa vie il voudra devenir astronaute, ce gamin de trente ans désormais incapable d'écrire deux mots à leur suite.

c'est à cet âge décisif qu'on lui annonça drastiquement que jamais il ne posera pied dans une fusée. c'est à cet instant de rébellion passagère qu'il décida d'appeler son père qu'il n'avait pas vu depuis ses trois ans, donc depuis qu'il était sortit de prison.

apparemment que son père ne devait pas être contacté. apparemment que c'était dangereux, qu'il ne fallait pas qu'il trouve la petite famille de trois aimés. la mère se blottit dans l'idée que son fils avait un talent inné et qu'elle devait lui trouver un entraîneur hors pair dans un coin éloigné. sa cible fut, à tous hasard, Rocky Mountain.

-----------------
quelles sont les tics et manies de votre personnage ? c'est un enfant. quelle sont les manies d'un enfant? oh... c'est différent pour chacun, vous me direz. lui, il n'est pas comme les autres enfants. difficile de lire sur des traits qui inspire une violence inouïe. commençons par commencer quelque part, voulez-vous.

le plus évident des tiques que l'ont pourrait répertorier sur terre est celui nommé « physique » que l'on trouve en particulier sur les traits du visage. Diego n'a pas les facilité à parler correctement. c'est un effort pour lui, en d'autres mots. comme s'il n'était pas encore à l'aise avec ses mots, comme s'il commençait tout juste à prononcer ses paroles. parfois, son visage se plie, se raidit, montre des dents, dans l'effort, quand ses mots courent. pas toujours. des fois.

il n'en est pas que de l'apparence, bien sûre. petit entêté qui va aura toujours le tique grincheux de bouder quand quelque chose ne va pas selon ses désirs. sage comme il est, l'acte ne s'applique qu'aux plus extrêmes situations. extrêmes pour son monde. il s'enferme, dans sa chambre, avec Grenouille, sa peluche de lapin, et il n'ouvre à personne jusqu'à ce que les larmes cessent de l'enrager en ruisseaux. fâcheux, quand il ne veut pas se rendre à un combat que le quart de la planète attend, par exemple.

se calmer est donc primordiale et, sans plus dire, importance capitale. l'amour est le traitement choc le plus frappant et calmant à la fois. sa mère. sa sœur. son coach. son gérant. nous dénombrons que peu de gens voulant de sa compagnie, toujours. lui donnent-ils toujours les accolades dont il raffole? bien sûre que non. une présence aussi infantile enherbe naturellement l'impatience chez tout le monde. tout le monde sauf les lapins. il les adore. se sont ses meilleurs amis, disent ses mots. il les cajole, il les caresse, il les embrasse, il les berce et... il les tue.

par accident, toujours. parce que, bien ironiquement, ce boxer de beaucoup trop de livres ne saurait faire de mal à une mouche. en dehors du jeu sur le ring, des règlements et des principes compétitifs, bien sûre. non, ce n'est qu'un peu trop d'abord qu'il enlace sur ses lapins qui les étouffent. ils cessent de bouger. et il est triste. cela ne l'empêche pas de les adorer, de leur vouer toute ses victoires. il fait attention, de plus en plus, quand il les aime de muscle le plus puissant appelé myocarde. voilà tout.


-----------------
avez vous subit la tornade ? vos proches ? vous connaissez la peur viscérale? les enfants la connaissent.

il était dans le sous-sol de sa maison avec sa mère, sa sœur et Amelys. sa mère leur avait dit de prier. il avait prié. en tremblant. en pleurant. il savait que même le meilleur des combattant ne pouvait défier une loi de Dame la plus splendide des terres et mers.

son habitation n'a été touché. ses proches n'ont été tués. son coach s'est fracturé solidement un bras. mais il disait à Diego que c'était rien. rien du tout. alors c'était correct, pour lui.
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MessageSujet: Re: personnages en tête   personnages en tête EmptySam 14 Fév - 20:05



















Cornelius Youth
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Surnom : The Cobalt
Nom complet : Cornelius Youth
Travail/étude : Dealer de drogues, étudiant à l'université en chimie
Âge : 25 ans
Lieu de naissance : Savannah, USA
Sexualité : bisexuel
Religion : Catholique

Histoire







- I saw that day. Lost my mind. -


- Tu vas la fermer, petit merdier?

Sur des dents serrées. Entre deux coups de pied dans l'estomac.  Avec la rage d'un homme voyant son cartel démembré par la D.E.A. Au grand complet.

- Je te jure... Jure te jure que j'ai rien dit...

Le ridé foutue sa cigarette sur le sol de la salle de bain de banlieue biaisée que l'on surnommait gentiment «le ghetto des bourgeois». Au loin, les chiens aboyait, à l'extérieur de la maison. Les autres furies de Monsieur Chef-de-Gang beuglaient à l'arrière. Et Cornelius, lui... Cornelius il pleurait.

En boule, en dessous de tous les coups que pouvaient renverser son patron qui le croyait taupe pour la D.E.A. Cornelius ce jeune n'avait jamais même pensé dévoiler quoi que ce soit aux autorités. Non, il était bien trop préoccuper à amasser son argent pour aller à l'université. Le collet de son t-shirt vola dans les airs, saisit par deux poings à la rage.

- Dis-moi... Qu'est-ce que t'as dit aux flics pour nous mettre dans un tel foutoir?

Le postillon à la figure de Cornelius ne le dérangeait guère; elle était déjà bourré de sang.

- J'ai rien dit, j'te jure, merde!

Il pleurait. Encore. Parce qu'il savait que si ce chef de cartel ne le croyait pas maintenant à l'instant, c'est une balle dans le crâne qui allait achever sa vie, sinon les crocs de 3 rottweiler sur son porche avant.

Miracle se produit: son patron le crut et le menace du doigt en sifflant comme la vipère du serpent.

- T'as intérêt à me dire la vérité, enfoiré. Je te jure que je t'arrache les yeux si je te revoie encore demain matin ici.

Et Cornelius savait qu'il ne parlait pas de sa ville natale, Montgomery. Il savait qu'il parlait de l'Alabama au grand complet.

- Compte-toi chanceux que je te laisse la vie sauve. ALLEZ ON SE TIRE LES GARS!!

Il recracha Cornelius sur le sol.






- Don't stop the buck when it comes. It's the dawn, you'll see. -


Il atterrit le visage en plein dans la toilette. C'était le balourd de Mike qui lui tenait la nuque à plein régime pour asphyxier Cornelius à plein poumon.

- Alors, comment elle est ta douche, Corneli-ass?!

Rire de tarés. Pour une blague de tarés. Pour un groupe de tarés. Et une belle activité de tarés entre deux cours.

- Hey, mec! Tu devrais lui faire bouffer ses chaussettes!

Lança un con à sa droite.

- Ou ses livres de science!

Renchérit un troisième derrière lui.

Alors Mike donna à l'adolescent une bouffer d'air en retirant gracieusement sa tête de la toilette. La première chose qu'il vit fut ses berniques caler jusqu'au trou du bol. Et il eut le temps de penser que ça serait l'horreur si ses lunettes étaient brisées. Puis Mike et sa bande de tarés prirent fuite au son de la cloche. Et il se retrouvait seul. Encore.

Trois ans... Il lui restait trois ans et je quittais cet enfer pour aller au collège étudier la chimie.






- Maybe in time you'll want to be mine. -


Avec Laurence. Pour toujours. C'était la promesse que Cornelius s'était fait après avoir dédié tout l'amour qu'il possédait à ce jeune homme de Detroit qui lui avait déjà offert les plus beaux cieux du monde. Parce que tout s'était passé trop vite du moment qu'il l'eut rencontrer dans son cours d'applications de la thermodynamique jusqu'au jour où il avait ouvert son cœur. Laurence était ce jeune homme qui ne savait pas juger ou mordre; il écoutait et aimait comme le plus timide des Candide. Voltaire était jaloux.

On dit que l'heure des morts est trois heures le matin. L'heure du décès, elle, n'existe pas, sinon que pour les derniers patients de l'hôpital trop blanc des villes embrumées. Cornelius se fait dire le dernier instant de Laurence à l'aile 3B devant la porte 193: vingt-trois heures, trente-sept minutes et cinquante-deux secondes le 4 mai 2010. Il était arrivé à l'hôpital à minuit moins le quart, c'est à dire immédiatement après avoir entendu dire que la Ford Focus 2005 s'était froissée contre un poteau téléphonique alors que son amoureux avaient toujours les mains au volant.

Qu'est-ce qu'on fait dans ces moments? Rien. On fige. On pleure. On crie. On n'aime pas y croire et notre cervelle fait tout pour ne pas y croire, mais on y croit comme c'est impossible d'y croire. Les derniers mots qu'ils s'étaient échangés le matin-même dans leur petit appartement douillet? Cornelius n'en savait rien. Il ne s'en souvenait pas.

Ce n'est que dans les films qu'on se souviens de ces conneries, pas vrai?







- Summer don't know me no more. Eager man, that's all. -


- C'est pas une potion magique. Tu verras... Et c'est pas plus compliqué que t'es... formules de math et tout.

Rire niais de son cousin à côté de lui, dix grammes de cocaïne à la main. Cornelius rit, par gentillesse, pour ne pas dire au mec en pleine face qu'il n'avait pas besoin qu'on lui dresse le tableau périodique des étapes pour devenir un bon dealer de drogue. Jamais il n'aurait pensé que toute cette histoire pourrait aller plus loin que quelques reventes hors État de drogue pour se faire de l'argent facilement. Parce que, non, le collège et sa suite ne sont point simples à payer lorsqu'on vient d'un quartier défavorisé et qu'on est le seul à avoir terminé le lycée dans sa famille.

- Et t'inquiète! C'est juste pour me rendre service hein... Ça durera pas plus de trois semaines je te promets!

Ce petit jeu avait duré 3 ans.

Cornelius avait acquis sa succursale de vente à lui et empochait une bonne somme en s'éparpillant sur plusieurs types de drogues... enfin, toutes celles que son patron possédait dans le territoire.






- [...] -


Et je repense à tout ça dans ce train. Qui me mène où? À foutu Los Angeles. S'il y a bien un dernier endroit auquel je voudrais être c'est bien là-bas. J'ai le restant d'un cartel au cul ainsi que peut-être la police... Après m'être soigné des coups de mon patron, je... je savais pas quoi faire. J'ai courut jusqu'en Colombus avec rien qu'un téléphone portable, un portefeuille et onze mille dollars en liquide.

«Qu'est-ce que tu fous là?!»... «Tu devrais pas être ici»... C'est ce que mon cousin m'a beuglé quand j'ai cogné à sa porte. Ouais... Je suis retourné chez mon cousin... C'était la seule famille qui me restait et... c'est lui qui m'avait foutu les pieds dans ce merdier... Je pouvais très bien lui demander de me les retirer.

Et, j'ai pas eus tord sur ce point. Un nouveau point de vente dans un nouveau quartier à vingt-trois heures de train, et un paysage que je laisse derrière moi pour ne pas y laisser ma peau. J'ai peur que mes études soient à l'eau. J'ai peur de ce qui pourrait m'attendre là-bas. Et j'espère, intérieurement. De ne pas vivre l'enfer.

J'ouvre mon portefeuille. Un billet de train ainsi qu'une brochure d'un endroit de rêve: le QUEENS. Je feuillette le fascicule. Je devais me rendre là bas, me trouver une bonne chambre d'hôtel puis vendre le stock que me cousin me ferait livrer aux clients du QUEENS. Pour combien d'éternités? Pesronne ne pouvait prédire. Le temps que tout se calme en Alabama. Mes potes me manquent. Ma famille me manque. Laurence me manque. Et je pleure. En silence.

Apparemment que QUEENS c'est le nouveau coin branché de L.A. C'est ce que la brochure dit en tout cas. Trop anxieux pour savoir la suite. Trop nerveux pour y réfléchir. Et trop soucier pour deviner qu'il allait s'agir de la plus belle et mauvaise expérience de toute ma vie.

J'y plonge. Dans vingt-trois heures de train je commence une nouvelle existence. Je déteste le chiffre vingt-trois.
Caractère et Tempérament

On ne peut pas éviter les émotions, pas vrai? On peut les voir venir, les appréhender, savoir qu'elles ont passées et les connaître lorsqu'elles nous frappent. Mais les éviter? Non, jamais. Même pas la meilleure des putes ou la plus branchée des ectasie peut empêcher notre cœur de fondre.

Pas le mien en tout cas. Sensible jusqu'à la moelle, l'intérieur de ma poitrine n'est pas un muscle mais un douillet velours. J'ai tendance à faire confiance au gens trop facilement. Je ne sais trop les juger, et je déteste juger. Alors je leur fais confiance d'un seul coup d'œil, bien naïvement.

Et pourtant, suis-je naïf? Avec un Q.I. au dessus de 150 et l'intelligence au bout des doigts, il est facile de se poser la question. J'ai d'abord dédié mon cerveau à Star Wars, Bakemonogatari et les rencontre avec batman dans les conventions populaires. Rien que je ne puisse omettre et tout que je puisse cacher: je suis un véritable geek qui eut possédé les lunettes les plus atroces de mon école. Quelque chose qui m'a donné un total de quatre amis dans mon enfance jusqu'à ce que je mette mes dons en mathématique dans le domaine d'étude de la chimie. Des choses qui tienne à cœur pour le passionné que je suis. C'est seulement à cette époque que je suis sortie de mon petit monde, que j'ai appris à prendre soin de ma santé et que j'ai mis un pied en dehors de chez mes parents pour aller découvrir la vie. J'ai découvert, de rencontre en rencontre, que j'avais beaucoup d'entregent ainsi qu'un sens de l'humour qui ne plaie pas toujours mais qui existe tout de même.

Avec tout ça, je trouve tout de même difficile de contrôler ses émotions. Quand la rage, la tristesse ou la colère frappe, j'en suis proie. Je sais pourtant mettre l'exact mot sur ce que je ressens, et arrive même parfois à prédire ce que je vais ressentir. Et je tombe dans le piège à chaque fois. Dieu nous a donné un cœur pour aimer. Je tâche de l'exercer le plus possible.

Car, je dois dire, je suis un peu croyant non pratiquant, des choses trop faciles à réfuter que ma mère m'eut enseigné jusqu'à sa mort quand j'étais gosse. Question de me faire croire que quelque chose me guide à travers ce bordel qu'est ma vie. J'aime croire, espérer. Je suis prêt à bien des choses pour accomplir mes rêves, je suis ambitieux comme le fer et je n'ai pas froid aux yeux. Je ne suis pas quelqu'un de peureux, et l'inconnu m'attire plus qu'il ne m'effraie. C'est sûrement d'ailleurs pourquoi je n'ai pas hésiter lorsqu'on m'a proposé de devenir dealer. Deux fois.

Il faut dire aussi que j'ai le sens du commerce. Je sais tenir mes clients et leur retirer beaucoup d'argent. Néanmoins, bien que je sache mentir très bien, j'essaie de rester le plus honnête que possible. Je suis aussi quelqu'un de plutôt sage et docile. Je préfère écouter les ordres plutôt que d'en donner, mais je sais faire les deux sans problème.

J'aime faire la fête autant que j'aime relaxer. Mais je sais que je ne suis certainement pas au QUEENS pour simplement m'amuser.
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